mercredi 15 septembre 2010

Rimes qui tournent en rond‏

L'autre soir, mon cerveau a foutu le camp.
En fouillant sous les décombres, j'ai eu peur.
Il y avait ce que l'on nomme un coeur.
L'autre soir, mon cerveau a foutu le camp.
Il ne reste que mon coeur maintenant.

2 commentaires:

Sébastien Haton a dit…

:))
En un sens, c'est le moment d'en profiter pour arrêter de penser.

L'impulsive montréalaise a dit…

@shaton : Moi ? Arrêter de penser ? Cque tu es naïf ! :-P