L'autre soir, mon cerveau a foutu le camp.
En fouillant sous les décombres, j'ai eu peur.
Il y avait ce que l'on nomme un coeur.
L'autre soir, mon cerveau a foutu le camp.
Il ne reste que mon coeur maintenant.
mercredi 15 septembre 2010
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2 commentaires:
:))
En un sens, c'est le moment d'en profiter pour arrêter de penser.
@shaton : Moi ? Arrêter de penser ? Cque tu es naïf ! :-P
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