lundi 30 janvier 2012

C'est ça qui est ça

Je suis en vacances cette semaine.

Je ne sais pas trop quoi vous dire. Mais j'ai envie de dire.

J'essaie de recommencer à m'entraîner. Je m'étais négligée depuis un mois et demi environ. Un peu de marche, mais sinon tranquille.

Je cuisine comme si ma vie en dépendait. C'est la chose qui m'allume et me passionne ces temps-ci.

Je me sens un brin morose.

Je suis contente d'être en vacances. Très contente. Je prendrais bien quelques mois. Mais j'ai 9 jours. Presque la moitié de passer. Des siestes un jour sur deux.

Je ne veux pas réfléchir. Même si des fois, ça réfléchit tout seul.

jeudi 26 janvier 2012

Bombe

Parfois, je me demande comment j'arrive à avoir une vie aussi "normale''. J'veux dire, de l'extérieur, tout se tient. C'est banal, normal, correct, adulte, fonctionne en société pis toute la patente.

Mais en dedans...........

En dedans, c'est une bombe à retardement.

mardi 24 janvier 2012

Un monde en soi

Aaaaaah ! le métro. Ça faisait longtemps que je ne vous en avais pas parlé.

Vous savez, le métro où y'a une fille qui tient le poteau du milieu. Qui tousse énergiquement dans sa main. Qui s'essuit vaguement sur son foulard et qui recriss sa main sur le poteau. Conscience sociale, ma grande !!!! Non, mais. OUACH !

Le métro aussi où on lève la tête et on voit une dame respectable..... pas si respectable que ça. Qui se fouille avec passion dans le nez. Et qui en sort un petit paquet. VOMI ! J'veux pas voir ça.

Puis le métro où on lève la tête lorsqu'on est assis. Qu'on voit un gars moche. Qui plutôt que de nous montrer ses fesses a décidé de se placer face à nous. Bon, j'pense pas que c'est prémédité. Mais quand on y pense.... son pénis est quand même à genre 30-40 cm de mon visage. Oui, je sais, bizarre ce qui me passe par la tête dans le métro !

Pis des fois, c'est le métro. Celui où j'écris un texte. Encore sur ce gars. Et j'vois tellement rien autour. Pis là, j'lève la tête. Pis je m'aperçois que j'ai dépassé mon métro de deux stations. Maudit ! Un étourdissement sans précédent je crois...

Le métro.... c'est le métro hein ! Un p'tit monde en soi. Où y s'en passe des affaires.

lundi 23 janvier 2012

Celle qui n'a pas

J'ai l'épuisement de celle qui aime le vide. Le néant. Du non-rendu.

J'ai les larmes au coin de la gorge. Mais les yeux si secs. On ne pleure pas pour ça. On ne pleure pas pour l'impossible. Une grande fille aux yeux tristes. Les cils courbés. Les épaules qui contemplent le sol.

J'ai le coeur. Le coeur comme on ne veut pas en parler. Quand ce n'est pas un conte de fée. Quand la sorcière n'existe pas, mais que c'est pourtant le méchant qui gagne. Même s'il n'y a pas de méchant dans l'histoire. En fait, c'est ça l'histoire. Aucun début, jamais de milieu, sans fin. Une tragédie qui existe dans une autre dimension.

J'ai. Parce que je n'ai pas. Parfois, ne pas avoir est plus lourd que de de posséder. C'est lourd comme une âme en peine. Ça pèse comme un boulet. On traîne dans la poussière. On râle dans la poussière.

J'ai parce que je n'ai pas.

dimanche 22 janvier 2012

Mes croix

La raison ne donne rien. J'essaie de me la foutre en pleine gueule. De me la faire avaler de force. De la bouffer jusqu'à plus faim. De m'étouffer avec. Je ne suis pas raisonnable. Je suis autre.

Je suis le refus. Je suis l'incompréhension. Je suis l'opposé. Je suis la force qui ne veut pas. L'esprit qui sait. L'âme qui s'acharne. Ma vie est un mashmallow géant qu'on tente de m'enlever. Et je me bats dans la guimauve. Pour rester au chaud. Dans ce monde sucré et doux.

Oh ! je sais. Je sais trop. Mais la raison n'est rien. Le savoir est un tue-l'âme. Et quand on veut vivre, on ne souhaite que se détacher de la raison. La lancer aux poubelles. Ou en bas d'un ravin. N'importe où loin de nos rêves illusoires.

Je n'ai pas choisi. Je ne choisis pas. Je vis et je respire. Je souffre et je vole. Je fais ce que je peux avec ce que la vie me donne. Je m'attache à ce qu'elle me tend du bout des doigts pour me narguer. Je m'attache à ce qu'elle ne me donnera jamais. Je n'ai pas choisi. Je traîne des croix.

samedi 21 janvier 2012

Spectatrice, actrice...

"J'ai l'impression d'être spectatrice de ma vie."
Citation approximative d'un vieil épisode de La Galère

On ne sait pas toujours ce qui touchera. Ce qui nous tombera dessus. Puis, on entend une petite phrase. Banale. Des mots ordinaires. Sauf que ça nous parle. Et on se demande.

Suis-je spectatrice de ma vie ? Y'a ce personnage qui le dit. Et celui de Kate Winslet dans The Holiday  qui se demande si elle est l'héroïne, le personnage principal dans sa  vie. Le genre de questions qui sort souvent dans la fiction parce qu'on se les pose aussi dans la réalité.

Je ne sais pas. Est-ce que je vis assez ? Est-ce que je vis tout court ? Est-ce que je ne laisse pas ma vie vivre à ma place ? Est-ce de l'insatisfaction chronique, la maladie de ce siècle, ou est-ce une simple réalité ? Celle de voir sa vie passer et de ne pas embarquer dans le train.

Parfois, j'ai l'impression d'attendre. Attendre après ce que je ne saurais nommer. Parfois, je pose des gestes, j'entreprends des actions, je fais bouger les choses. Puis, ça redevient immobile. Et je me demande si les gestes du passé ont existés. Je vois qui je suis. Je ne suis pas la même qu'avant. Si différente. Mais la même d'une certaine façon. Et surtout, avec la même vie. Je change. Ma vie ne change pas.

mardi 17 janvier 2012

Je t'ai

Je t'ai en boucles dans la tête. En caillots dans la gorge.

Je t'ai en nostalgie dans le coeur. En manque dans le ventre.

Je t'ai partout. Je t'ai tout le temps. Quand je marche dans la rue. Quand je lis un livre dans le métro. Quand je vois une affiche des Grands Ballets. Quand je fais la cuisine. Quand je pense à mes orteils nus sur un sofa. Quand je prends un verre. Quand je ris sans raison. Quand je pense à la Saint-Valentin. Quand je te regarde et je te trouve beau.

Je t'ai à l'infini et encore plus. Une immense lumière. Un nuage gigantesque qui plane.

Je t'ai comme une litanie. Comme un refrain qui repasse sans arrêt.

Je t'ai comme une maladie. Comme un microbe partout sur la peau.

Je t'ai mal. Parce que je t'ai seulement dans l'imagination.

dimanche 15 janvier 2012

Chips et soupirs

Les chips, c'est mon aliment réconfort par excellence. C'est mon baisse stress. Je ne sais pas d'où ça me vient. D'il y a bien longtemps sûrement. Jeune, j'en mangeais pratiquement tous les jours. Et ce n'est pas juste une façon de parler. C'était la vérité. Bon, on s'entend, je n'en mangeais pas un sac au complet. Sinon, je serais rendue à quelque chose comme 800 lbs ! Parfois, juste 4 ou 5 chips, d'autres fois un petit bol. J'en mange moins maintenant.

Mais manger des chips, ça reste comme la poitrine qui lâche un grand soupir.

J'ai appris en vieillissant à moins manger mes émotions. À les exprimer. À les vivre. À les accepter. L'an dernier, j'ai perdu 20 lbs en 5 mois (d'ailleurs, faut que je m'attaque aux 20 dernières qui restent maintenant !) et j'ai donc encore amélioré tout ça. Patienter. Reporter. Oublier les envies de bouffe qui viennent des émotions plutôt que de l'appétit ou d'une envie occasionnelle normale.

Mais y'a des fois, il faut des chips. Comme ce soir. J'avais besoin de mon soupir de chips. Du ouuffff qui sort.  Ça améliore rien à ce qui me donnait envie de chips. Mais bon. Qui oserait me jeter la première pierre ?

samedi 14 janvier 2012

PLUS

Tantôt, j'écoutais un film et j'ai eu soudainement envie d'un verre. Ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Bon, pour être tout à fait honnête, ça m'est arrivé la semaine dernière. Mais excluant cette exception (meilleure formulation du monde, vous en conviendrez), ça faisait très longtemps que ça ne m'était pas arrivé.

Vous ne trouvez pas qu'un verre exacerbe tout ? Je veux dire.... On se sent PLUS seule, on a PLUS d'espoir, on a PLUS envie de baiser, on est PLUS joyeux, on est PLUS triste, on se trouve PLUS pathétique... Vous comprenez le principe sûrement.

Et là, je me sens PLUS tout.

Bon, je ne sais pas trop où je voulais en venir. En tout cas. Jpense que j'vais aller me servir un autre verre. Je m'en souviendrai peut-être.

jeudi 12 janvier 2012

Coup de vieux

Oh ! oui, je suis encore jeune. Je le sais. Je n'ai que 31 ans après tout ! Et vieillir ne me fait pas peur non plus. Au contraire, je ne retournerais jamais en arrière.

N'empêche, il y a des choses dans la vie qui nous font prendre un coup de vieux.

Tsé, comme entre autre, tu te dis que c'est le temps. Et tu décides volontairement de t'inscrire à une cotisation REER   !

C'est tu ça qu'on appelle devenir adulte ?

Ça l'air niaiseux comme geste. Mais je sais pas. Ça fait bizarre. Surtout pour une cigale comme moi.

Eille, si moi je prends un REER volontairement, jveux dire c'est comme si l'ordre du monde venait de changer et que tout se pouvait !

Ouch ! J'ai comme des rhumatismes tout à coup !

lundi 9 janvier 2012

La vie secrète de l'Impulsive

Quelque part en décembre,

....

je me suis inscrite à un site de rencontre.

Et ça donne crissement rien !

On m'a abordée, oui. Mais je n'ai que très rarement répondu. Je pensais que je n'étais pas quelqu'un de difficile. Je ne sais plus trop. Bon, faut dire aussi que dans ceux qui m'ont écrit, difficile ou pas... Disons juste qu'ils ne me disaient rien ces hommes. Et plus j'attends, et plus il ne se passe rien.

À mon réveillon du jour de l'an, il y avait trois couples, moi et une autre personne. Sur les trois couples, deux ont été formés sur un site de rencontre. Pas mal, non ? Je veux dire, ça donne l'impression que ça marche. Et voilà, ce soir-là, on jasait de ça. C'est bien de se renseigner. De voir ce que les hommes et les femmes avaient à dire sur le sujet.

Un avis unanime : la femme doit faire les premiers pas. Semblerait que sinon, il n'y a que les players et les dragueurs compulsifs qui vont tenter une approche. Les deux couples présents ? C'était la femme qui a communiqué son intérêt en premier.

Alors, je me suis dit qu'il fallait que j'essaie. Au moins, un peu. C'est confirmé. En un sens, je suis difficile. J'ai regardé des photos, j'ai lu des textes. Plusieurs. Si on élimine les trop beaux pour moi (sans commentaire), les trop laids, les textes poches, les imbécilités.... Honnêtement, il reste peu, bien peu d'hommes que j'ai envie d'aborder.

Je crois que c'est le "médium" qui veut ça. Combien de ces hommes me plairaient dans la réalité ? Si je les rencontrais par hasard et j'apprenais à les connaître ? Certainement un peu plus que juste comme ça en ''magasinant" ! Car oui, ça donne une impression de magasinage. Ça fait un peu sordide, un peu triste. Ça fait se sentir seule. Vraiment seule.

C'est drôle, à mon réveillon, une des deux femmes, elle disait qu'elle trouvait ça fantastique comme façon de rencontrer. Avoir accès à plein d'hommes, pouvoir bien choisir et y penser, aborder celui qui semble vraiment intéressant... Je suppose qu'il y a là un certain état d'esprit assez différent du miens...

Soupir.

dimanche 8 janvier 2012

Dans les tranchées

C'est fou comme quelqu'un peut nous ouvrir le coeur, nous le charcuter et le refermer sans que ça n'y paraisse. Comme s'il n'y avait pas eu crime. Presque sur la pointe des pieds.

On commence toujours à armes inégales. Parfois, on est plus fort. D'autres, plus faible. La vie est une suite de combats sanglants. On pense s'en sortir, on gagne, on déclare la paix, quelqu'un nous tire dessus, le drapeau blanc devient rouge et tout reprend du début.

Il y a mon coeur. Il est ce qu'il est. Il a besoin de voltiges et de grandeurs. Il supporte mal les douleurs sombres, les indifférences brutales. Il ne se comprend pas toujours. Il se comprend même parfois bien mal.

Il y a mon coeur. On l'a pressé. Dans des mains trop doucereuses. Et je me suis laissée tomber. Parce que c'était doux. Un peu vieillot. Faux, mais qui s'en souciait. Parfois, on invente des histoires. C'est facile quand on écrit. On se passe des images dans la tête. Des vraies, des fausses, on brasse tout. On ne sait plus trop. Sauf qu'on aime bien les fausses. Qu'on aimerait bien que le monde vire à l'envers.

C'est fou. On donne son coeur sans le savoir. Quelqu'un l'attrape. Le prend. Ne comprend pas ce qu'il a dans les mains. Il joue avec un peu. Parce que c'est amusant. Puis, il le jette. Voilà, ce n'était qu'un jouet. Et là, c'est dans la poussière. Et on ne sait trop comment le nettoyer. Mais tant pis. C'est comme ça dans les tranchées.

samedi 7 janvier 2012

Apathie

 Je pense que je suis victime d'une crise d'apathie. Que je suis en train de me transformer en plante verte.

J'écoute la télé. J'écoute la télé. J'écoute encore la télé. J'ai fait que ça toute la journée.

Comme si j'avais besoin de vivre par procuration. Comme si j'avais envie d'un peu d'explosions dans ma vie. Comme si ben des affaires. Genre que je pourrais disserter sur le sujet. Si ce n'était pas aussi forçant. D'aller chercher dans tout ça. D'aller foutre un coup de pied dans tout ça.

Il ne se passe rien. Alors j'écoute la télé et je pratique mes respirations de plante verte.

mercredi 4 janvier 2012

Hommes... femmes...

Vous le savez, je généralise souvent. Un petit travers que j'adore pour faire réagir et réfléchir. Et aussi bien souvent, parce que ça se trouve que je détiens un bon bout de vérité. Aujourd'hui, ce sont les hommes et les femmes qui m'ont bien fait rire !

Vérité observée numéro 1 : Les femmes, ça boude. Moi, je boude (bon pas longtemps en général... quand même !). Et comme bien des femmes, on s'essaie au boudage sans exprimer de façon assez carré pourquoi on boude. Mais bon, je travaille là-dessus. On finit généralement par me sortir les vers du nez assez vite si on se donne la peine de poser deux, trois questions.

Vérité observée numéro 2 : Un homme, c'est lent à comprendre ce qu'une femme veut. Même quand la femme l'exprime. C'est pourquoi il faut dire clairement à ces messieurs ce que l'on veut. Mettre les choses claires. Donner des exemples précis pour faciliter la compréhension etc. Encore là, la compréhension n'est pas assuré. Un schéma pourrait aider. Des petites poupées avec mise en scène. Et bien du répétage. Clair et précis, hein.

Vérité observée numéro 3 : Les femmes sont des maniaques. Je m'explique, car maniaque, c'est large. Disons juste  que c'est effrayant comme une femme poussée par certaines émotions négatives peut tout à coup adopter un comportement complètement erratique et faire des menaces absolument farfelues. Oui, je sais, pas très clair. Ce sera pourtant ça.

Vérité observée numéro 4 : Tabar....... Les gars se servent encore du féminisme comme raison pour excuser le fait qu'ils ne draguent pas. On s'entend, draguer une femme messieurs, ce n'est pas attaquer le féminisme. C'est juste draguer une femme, plus simple encore juste lui parler en manifestant un intérêt pour ce qu'elle a à dire.

Vérité observée numéro 5 : Les femmes aiment bitcher, parler dans le dos de. Mais quand je dis le dos de, c'est une figure de style. Ça le fait plutôt dans ta face en pensant que c'est subtil et que tu ne t'en rendras pas compte ! Ouin, ma grande...

Vérité observée numéro 6 : Moins un homme est beau, plus il est prêt à baiser n'importe quelle fille. C'est comme inversement proportionnel. Fascinant. Et comme un homme beau a déjà les critères assez flexibles...

lundi 2 janvier 2012

Société de durs

Je crois que les gens confondent trop souvent l'amour avec quelque chose de malsain. Ou c'est peut-être qu'on ne sait plus comment aimer, comment se rapprocher. Parce qu'aimer, c'est la faiblesse, parce que l'indépendance est adulée, parce que l'individualisme règne en maître.

Alors on rentre dedans.

Fort. Mal. Parce qu'on se sent seul à en crever. On frappe au lieu de faire une caresse qui nous plongerait dans l'insécurité. On joue aux durs, on joue aux forts. Alors qu'au fond, on a la trouille. On a juste la maudite chienne de se faire rejeter. On aime mieux se brûler les viscères à aimer mal que de se manger une claque parce qu'on aura aimé trop doux. Il faut l'avouer, c'est souvent plus facile de se montrer fort. De faire mal à l'autre en premier. De l'ignorer avant qu'il nous ignore. De le repousser parce qu'on a peur ou de rire de lui pour ne pas montrer ce qu'on ressent.

Au fond, le problème, c'est qu'on rejette trop souvent l'autre trop rapidement. Que ce soit en amour, en amitié, ou juste en tant qu'être humain. Bang ! Kleenex. On jette. Sans appel. Mais pourquoi on fait ça ?

dimanche 1 janvier 2012

Propos décousus

C'est fait. Des bulles, des embrassades, de la compagnie et 2012 est arrivé.

Rentrée seule chez moi, le chat m'accueille, je respecte ma pittoresque tradition d'ouvrir la fenêtre pour faire entrer la nouvelle année. Ça m'émeut moi ce genre de choses. Ça me permet de me demander ce que la nouvelle année me réserve. Bon, je devrais peut-être davantage me demander ce que je veux en faire. Mais la vie, on ne décide pas toujours. Alors, voilà, moi, je me demande ce que 2012 me réserve. Je suis curieuse.

Je ne sais trop si ce que je dis se tient. Un peu d'alcool, beaucoup de fatigue, des yeux petits, des baillements.

Je ne sais pas pourquoi la nouvelle année ça nous fait ça. Ça nous fait nous demander, réfléchir, avoir des envies de changements, d'améliorations. Mais ça le fait. En plus, j'ai ma fête 2 semaines avant et Noël est une semaine avant aussi.

Putain, je trouve j'écris mal et croche.

En tout cas, tout ça pour dire que ça fait toute une période d'introspection. Je pensais plus tôt dans la journée vous faire un bilan, ou vous parler de mes envies, des mes projets... Mais moi, ça se passe dans la tête. Et quand j'ai envie de mettre sur papier, je n'ai pas besoin d'une date. Je le fais sur le moment. Plus d'une fois par année. Sans nécessairement rendre ça d'ordre public. On verra bien. L'année est jeune !

C'est moi où je suis décousue un peu ?

Bon, j'abrège. Tout ça pour vous dire que je vous souhaite la meilleure des années possibles. La plus belle, grandeur plus que nature, pleine de santé, d'amour et de réalisation de vos rêves les plus fous. J'vous aime mes chéris ! Bises  !