Ce n'est pas que je déprime. Non.
Mais si je pouvais me pleurer le coeur, la gorge, le ventre, la tête, le corps au complet jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien, je crois que je le ferais.
Mais ne lisez pas ça. Lisez le billet précédent. Et célébrez ce an avec moi. Ça, au moins, ça fait du bien. Pour le reste, ça ira à plus tard, ou un autre jour. Ne lisez pas ce billet. Oubliez-le. Allez lire le précédent.
samedi 11 septembre 2010
Le billet que j'écrirais si je ne voulais pas enlever l'attention sur le précédent...
Publié par
L'impulsive montréalaise
à
15:28
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
4 commentaires:
Trop tard. Et puis, l'autre je l'ai déjà lu.
Trop tard... Ça sonne comme un glas.
Avoir lu n'empêche pas de relire.
Si on remplaçait le verbe "pleurer" par le verbe "rire" ; si on remplaçait "ne pas" par rien...
...alors ce billet pourrait être joyeux.
Mais je vais retourner lire et relire le précédent, comme tu le demandes.
Good life,
s
@shaton : Ahahahahh ! Merci ! Oui, ç'aurait pu être joyeux... Mais parfois, ça ne l'est pas. Des choses qui arrivent ! Relis-moi tant que tu veux. Héhé !
Enregistrer un commentaire