samedi 2 octobre 2010

Ok, je suis fucking saoule

Oui, vous avez bien lu le titre.

J'essaie d'écrire et la moitié des mots, je dois les effacer et les réécrire parce que rien ne va sous mes doigts. Je fais des fautes de frappe sans arrêt. Du coup, c'est fucking long écrire ceci. Écrire que je suis fucking saoule. Moi qui habituellement écrit tout en deux temps, trois mouvements. Je suis SAOULE. J'ai comme bu tsé genre.

Et bon, une fille qui a bu, ça pourrait dire des niaiseries. Donc je serais mieux d'arrêter d'écrire ici. De stopper le flot illetré ici. Je sais pas pourquoi je vous écris. Moi, je suis comme ça. J'ai un clavier entre les mains et c'est comme genre dangereux. Je vous écrirais tellement d'affaires, là, maintenant. Je y'écrirais tellement d'affaires là, maintenant.

Je le dis. Je suis un danger pour tous les claviers de ce monde. Ou du moins, face à tous les claviers de ce monde.

Ok, ok, fuck, je suis fucking saoule et j'ai rien de plus à dire. Pis je suis tannée de tout effacer mes fautes de frappe sans arrêt.

Bonne nuit mes chéris !

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Ivrogne! ;-p

Sébastien Haton a dit…

Même pas de révélations...
Décidément, même fucking saoule t'as pas encore assez bu !

Anonyme a dit…

Hmmm rien de mieux qu'un Drunk Post! ;) c'est toujours drôle, pour nous et pour les autres... mais je suis d'accord avec Shaton, continue de te pratiquer, tu pourras laisser la censure de coté! ;) J'aime bien ton Blog anyways...

L'impulsive montréalaise a dit…

@Camille : Oui, madame ! ;)
@shaton : J'avoue, hein ! Mais oui, moi, je ne bois pas assez pour me dévoiler trop ici. Héhé !
@sacrecrowworld : Quelle censure ?? ;) Non, je ne censure pas. Je choisis judicieusement. Merci pour ton mot gentil. J'aime quand on aime mon blogue. :)

Jérôme a dit…

C'est bizarre mais dans ces quelques mots, j'avais le feeling, je sentais ton ivresse, c'est weird. Je me sens voyeur d'avoir lu ce texte.

L'impulsive montréalaise a dit…

@Jérôme : Bienvenue dans moi alors. Et j'espère que dans ce weird, ce bizarre, il y avait aussi un soupçon agréable de plaisir coupable. Voir sans être vu.