samedi 23 janvier 2010

Ce que j'ai écris la nuit dernière...

Il m'arrive parfois d'être vraiment à vif.

Hier soir, j'étais comme ça.

Hier soir, ma douleur aurait pu se comparer à une bonne quantité d'alcool fort jeté sans prévenir sur une blessure fraîche qui saigne encore. Une douleur vive, dévastatrice.

Cet après-midi ?

Un relent me hante légèrement. Je crois que cette sensation ne me quittera jamais vraiment. Je l'ai depuis longtemps et bien qu'elle évolue, elle reste là. Elle observe, surveille, se cache et me saute dessus selon son bon désir.

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