jeudi 30 septembre 2010

Les femmes ont plus de couilles que les hommes‏

Je suis désolée messieurs. Après ce texte sur l'inscontance, voilà que je refais un texte qui vous écorchera un peu. La vérité, messieurs, puisqu'on est entre nous, c'est que je suis folle de vous. Je vous adore. J'ai même déjà fait un texte sur ce blogue où je vous rendais hommage. Sauf que. Parfois. Il faut ce qu'il faut. Comment vous dire... Ces temps-ci, ça pleut dans mes conversations. Et je ne suis pas la seule qui le dit.

Les femmes ont souvent plus de couilles que les hommes. C'est ressorti dernièrement dans les conversations que j'avais avec plusieurs personnes. Surtout des femmes, quelques hommes. Le constat était là. Et c'est dommage. Pas que les femmes soient de caractère (ce que je veux dire par plus de couilles), ça, c'est bien. Surtout que les hommes en aient parfois si peu. OUI, JE GÉNÉRALISE, MERCI DE LE NOTER. :)

Non, mais c'est vrai. Les hommes, j'ai parfois l'impression qu'il faut leur rentrer dedans. Qu'il faut leur foutre des claques sur la gueule (au figuré, là). Qu'il faut les provoquer. Pour aller chercher des réactions. Un peu de vitalité. De caractère. D'hommitude. De couilles bâtard ! Je ne sais pas ce qui s'est produit. Ni quand ça s'est produit. Mais la balance semble avoir penchée du côté des femmes. Du moins, quand on parle des relations hommes/femmes. Je l'ai déjà dit sur ce blogue. Les femmes, beaucoup, sont de plus en plus des germaines (gère et mène pour pour ceux qui ne saisiraient pas). Et les hommes ? Non, seulement ils se laissent faire. Mais ils l'attendent. Qu'on soit ainsi. Si on ne les provoque pas un peu, on dirait qu'ils dorment. Qu'ils sont mous, sans opinion. OUI, JE GÉNÉRALISE ENCORE. MERCI DE LE NOTER ENCORE. :)

Tout ça pour dire messieurs, que moi, je vous aime. Mais surtout avec des couilles et du caractère. Et là, je précise, je ne dis pas que j'aime les mauvais garçons, ceux qui sont méchants. Non. Je dis juste que j'aime un homme, un vrai, les hommes, les vrais. Dans toute leur beauté et leur splendeur. Alors, merci de fouiller un peu, de trouver vos couilles, de les remettre et de me montrer que, oui, vous pouvez conquérir le monde (soit dit en passant, le monde, ça peut être moi.... je le dis souvent.... les hommes ne draguent pas..... ou si peu.... mais ça, c'est un autre sujet). Bisous mes chéris ! ;)

mercredi 29 septembre 2010

On y pense aussi‏

Ça m'arrive parfois. Souvent même. Dépend des périodes.

Je suis assise. J'ai la tête ailleurs. Je me mets à penser. C'est le beau gars dans le métro. C'est le souvenir d'un homme qui m'a attiré. Dans la vie... ou dans un lit. C'est un effleurement d'un ami attirant. Ou d'inconnu au regard chavirant.

Ça me fait les jambes molles. Le coeur qui bat. La petite culotte mouillée. J'ai ces images. De celles qui sont bien où elles sont. Dans mon esprit. De celles que je ne veux pas partager avec tout le monde. Puis j'ai la chaleur qui monte. Le sang qui boue. Et j'ai l'agissement brusque. Un peu impulsif. J'ai envie. J'ai besoin. J'aime.

Ça ne paraît pas sur mon visage. Je peux discuter du travail. Je peux avoir l'air absorbé dans quelque chose qui demande de la concentration. Ou bien distraite. Je peux avoir l'air de penser à rien et de penser à tout à la fois. Mais pas nécessairement à ça. Au sexe. Mais j'y pense. Et c'est à en rougir tellement je n'en ai même pas l'air. Tant de délices qui me passent par la tête... Des baisers, des caresses, des gestes. Des souffles, des corps, de la sueur. Des mains, des lèvres, des respirations. Ça s'agite, ça gronde, ça défaille.

Le mieux, c'est encore lorsque j'écris sur le sexe. Comme hier, dans le métro. J'écris bien sagement. (Mon deuxième roman est commencé et ça m'emballe). Et c'est une scène de sexe. Et j'écris en cachant un peu ma feuille de ma main. Me demandant si le gars à côté de moi peut voir. S'il s'étire l'oeil. S'il saisit mon écriture. S'il comprend de quoi je parle. Et je lève le regard. Innocemment. Comme si j'écrivais des trucs banals. Mais la vérité, c'est que j'ai un peu chaud. Que j'ai le souffle un peu désordonné. Un délice.

Mais qui a dit que les femmes pensaient moins à ça que les hommes ?

mardi 28 septembre 2010

Sondage express, réponses appréciées d'avance

Oui, oui, un petit sondage express.

Je voulais juste savoir.

Si à la quantité de textes que je publie, vous avez le temps de les lire tous ? Ou si vous en sautez un sur deux pour survivre au flot ?

Je dis pas que je vais me fier à vos réponses pour ajuster mon nombre de textes. Surtout dans une phase où aussitôt que j'ai un clavier ou un crayon, je me répands en tonnes de mots. Mais bon, je voulais savoir. Et oui, je pourrais ESSAYER d'adapter peut-être, possiblement, éventuellement, si jamais... ;)

lundi 27 septembre 2010

Être atypique‏

Je crois que je suis atypique. Je ne le dis pas comme une accusation envers moi-même. Ça ne me dérange pas. Ce n'est qu'un simple constat. Je suis atypique. Je le serai probablement toujours.

Je suis une écrivaine atypique. J'ai connu quelques écrivains. Des vrais, des faux. Pris séparément, ils sont souvent bien intéressants. Pris en groupe, c'est un nid de vipères. Ça peut l'être du moins. Je me souviens d'un petit rassemblement d'écrivains. Pas très connus. Qui se sont mis à parler des gros noms (comprendre ceux qui vendent) de notre littérature. Vous auriez dû voir la séance de bashing intense. Un écrivain semble toujours aussi un peu imbu de lui-même (beaucoup en fait), complexe, mélangé, torturé. Je ne dis pas que je ne suis rien de tout ça. Mais. Finalement, je le dis un peu. Pas à ce niveau-là. Pas de cette façon-là. Peut-être parce que je ne suis pas publiée encore. Tout au plus m'a-t-on dédicacée une partie de livre quelque part sur cette planète... Mais bon, tout ça pour dire que dans ce nid, je me sentais étrangement comme une bouffée de fraîcheur. Peut-être alors suis-je imbue ! Héhé ! Mais clairement atypique.

Je suis une intello atypique aussi. Comprenez-moi, je suis totalement, complètement une intello. Aucun doute possible. J'aime lire, écrire, je pense beaucoup, je me questionne. Mais l'intello que je suis va au gym. L'intello a développé une passion pour le jogging. Une passion dont j'ai salement besoin d'ailleurs. J'avais besoin d'équilibrer le corps et l'esprit. De ne plus laisser l'esprit tout raffler. Et je ne m'en porte que mieux. Sinon, mon énergie bouillonne trop. Je ne suis pas fille de yoga léger et contemplatif. Je dois me dépenser physiquement à mon maximum. Suer et avoir mal. Je suis une intello devenue sportive par la force des choses. Pas une intello typique quoi !

Je suis une artiste atypique. Ooooh ! le gros mot que je viens de dire. Que je suis une artiste. C'est la première fois que je le dis. Peut-être aussi la dernière. Mais je ne pourrais nier qu'il y a en moi un tempérament artistique fort. J'aime écrire. Passionnément. Les mots sont ma vie. Je pourrais aussi dire la même chose du chant ou presque. Chanter m'est parfois vital. Écrire, chanter, ça n'équivaut qu'à sortir ce que j'ai à l'intérieur de moi. À l'exprimer. À le sublimer. La photo aussi, je l'aime. Dans une moindre mesure que l'écriture ou le chant. Mais j'ai cet oeil. Qui voit les photos. Pourtant, toute artistique que je suis je ne travaille pas dans le domaine artistique. J'ai besoin d'une stabilité dans ma vie. Je ne pourrais pas être pigiste ou fonctionner à contrat. Ou si, je pourrais peut-être. Un jour éventuellement. Mais ma stabilité me fait du bien. Parce que ça bouge tant dans ma tête, que j'ai besoin que ça tangue moins dans ma vie. Encore une fois un peu atypique.

Je ne suis pas la femme de 29 ans typique. Oooooh ! là, j'exagère peut-être un peu. Je suis peut-être plus typique que je ne le crois. Mais quand je dis ça, je pense surtout à l'horloge. Au tic tac biologique. Je l'ai déjà dit. Je ne l'ai pas. Toutes les filles que je connais de mon âge, et même plus jeunes, ont hâte d'avoir des enfants. Bientôt. Ça urge. Et plus leur âge approche ou dépasse la trentaine, plus ça les démange. Moi, si on me demande si je veux des enfants, je réponds que je ne sais pas. Et c'est vrai. Je ne sais pas. Je me dis que si je rencontre quelqu'un qui m'en inspire, ça viendra peut-être (du moins, je le crois). Mais ma réponse, actuelle et sincère, est que je ne sais pas. Et non, ça ne me démange vraiment pas et je n'entends aucun tic tac. Atypique, vous avez dit ?

Des exemples comme ça, j'en aurais d'autres sûrement. Oui, je crois que je suis atypique. Et vous savez quoi ? Je crois surtout que ça me va bien. Parce que c'est moi. Je suis moi. La vraie moi. Sans compromis. Mais avec plein de magnifiques contradictions. Qui s'entendent bien les unes avec les autres.

dimanche 26 septembre 2010

Le loup qui voulait tuer la beauté du monde‏

Il était une fois une petite fille. En fait, ce n'était plus une petite fille, mais elle avait conservé la candeur de la jeunesse et quelques espoirs que seuls les plus jeunes ont. Donc il était une fois une petite fille. La petite fille était gentille, douce, un brin naïve. Elle avait beaucoup de rêves et d'envies en suspens. La petite fille avait en effet connu une vie parfois difficile, mais sentait que, tranquillement, le poids des années apportait un peu de sérénité dans son petit sac. Elle avait quand même semé quelques miettes de pain en chemin pour retrouver ses douleurs et ses apprentissages au cas où. Dans la vie, on se sait jamais.

La petite avançait donc doucement sur le chemin. Ses pas étaient petits, mais assurés. Allez savoir ce qui l'a conduite dans cette forêt. Un excès de confiance peut-être. L'impression, bien que non fondée, que se cachait là quelque chose de magnifique. Il y a que, voyez-vous, la petite fille était fascinée par les forêt sombres et par les grands méchants loups. Au point d'aimer courir après eux. Comme une petite gamine écervelée.

Ce jour-là, le loup avait un air rassurant. Un air doux et gentil. La petite fille ne s'est pas méfiée. Elle l'a suivi. A fait son petit chemin en gambadant sans savoir, ni même se douter de ce qui l'attendait. Tout au plus y avait-il eu un courant d'air froid juste avant qu'elle entre au milieu des arbres. Ce n'est pas une histoire de petit chaperon rouge. Ne vous y trompez pas. C'est une histoire pire que ça. Le loup était peut-être moins mal intentionné que dans l'histoire du chaperon, mais la fin n'en sera pas jolie pour autant.

-Comme vous avez une grande bouche Monsieur le loup, a dit la petite fille.

Et encore d'autres admirations...

-Comme vous êtes gentil de m'accueillir Monsieur le loup, a poursuivi la fillette, enchantée.

Et le loup d'être gentil.

Non, ce n'est pas l'histoire du petit chaperon rouge, je vous dis. La petite fille ne portait pas de rouge. Et elle n'a pas fini dans le ventre du loup. Pas plus que la grand-mère ou qu'un chasseur qui passait par là. Ce n'est pas un compte pour enfant. Plutôt un pour adulte. Si la fillette a été mangée par le loup, l'histoire ne le dit pas. Mais assurément l'appétit en question n'aurait pas été pas de celle que le loup du conte avait pour le chaperon. C'est une histoire pour adulte, je le répète. S'il l'a mangée, c'est donc bien autrement. Alors, cessez de m'embêter avec ces basses considérations comparatives.

Toujours est-il que la petite fille a été obligé de se déprendre de l'emprise du loup. Un peu. Légèrement. Le temps d'un souffle. La vie qui voulait ça. Mais, rappelez-vous, la fillette a toujours été fascinée par les loups...

Sauf que celui-là, bien qu'ayant l'air gentil, ne l'était pas tant. La petite fille n'a pas fini dans le ventre du loup. Mais lorsqu'il l'a laissée partir, le loup lui a dit quelques mots. Il lui a fait comprendre qu'elle avait fait erreur de le trouver gentil. Il lui a dit qu'il voulait tuer la beauté du monde. Pas seulement qu'il voulait en fait. Il a dit qu'il tuait la beauté du monde et il l'a fait. Puis, il a fermé la porte de la maison. Sans peine pour la petite fille. Et en s'assurant de bien tirer les verrous. Voilà comme il était méchant le grand méchant loup !

Alors, la petite fille est repartie. Sans comprendre. Sans savoir comment on pouvait en arriver à vivre dans les bois et à vouloir tuer la beauté du monde. Sans savoir comment réanimer la beauté du monde pour le loup. En trouvant ça triste de l'ignorer. Mais bien déterminée à retourner le long de ses miettes de pain pour retrouver sa beauté du monde à elle. Celle qu'elle commençait à apercevoir avant de s'égarer en chemin.

La petite fille, cétait moi.

L'art d'apprendre et autres examens‏

L'autre jour, en commentaire, un lecteur fidèle m'a demandé ce que ça pouvait bien faire d'échouer un test. Ou quelque chose du genre. N'importe quoi qui voulait dire que ce n'était pas si grave qu ça en fait.

Pour moi, ça l'est.

Ce n'est pas pour me vanter, mais je suis intelligente. Du moins, du point de vue d'une intelligence scolaire. Car il y a plusieurs formes d'intelligence (bon, j'en ai plusieurs, mais je ne veux pas me vanter... héhé !). Disons plutôt alors que je suis bonne à l'école. Je l'ai toujours été.

Au primaire, au secondaire, au cégep, à l'université. J'ai toujours eu de bonnes notes. Pas toujours, mais très souvent dans les meilleures notes de la classe. Et facilement en plus. Je sais, je sais, ça vous fait chier. Combien de personnes en ai-je fait chier alors que je disais n'avoir étudié que 30 minutes (mon maximum d'études, vraiment) pour un examen important ? Surtout, en recevant ma note. Bonne comme toujours.

J'en ai des souvenirs liés à l'école...

Je me souviens quand je ramenais à la maison un examen noté 100% au primaire. Ma mère me disait la plupart du temps que j'aurais pu faire mieux. Et moi, je lui disais que non. Que j'avais déjà la note maximum. Elle me répondait alors que j'aurais pu inventer une question et écrire la réponse à côté. Je sais très bien que ma mère n'avait aucune mauvaise intention. Au contraire. C'était pour me taquiner. Mais au primaire, comprend-t-on vraiment ce genre de taquinerie ? Ne voit-on pas plutôt la critique constante ?

Au cégep aussi, je me souviens de cette journée si drôle. Oui, bon, c'est relatif la drôlerie... Toujours est-il que ce matin-là, j'étais malade. Vraiment enrhummée (ça ne m'arrive jamais hein !!!! :-s). Il y avait la tempête aussi. Ça ma pris toute mon énergie et bien du temps pour déblayer ma voiture. J'ai brisé un essui-glace. Celui du côté conducteur ! Du coup, pas le choix d'arrêter au garage le changer. Ç'aurait été dangereux vu la grosse neige de ne pas le faire. Résultat, j'étais en retard pour ma journée. Où j'avais 3 examens. Pouvez-vous croire que lorsque je suis arrivée, la prof était en train de dire aux étudiants de se dépêcher pour finir avant moi ? Puisque que j'étais en retard ? J'avais toute une réputation, hein !? Bien entendu, même avec une bonne vingtaine de minutes en retard, j'ai fini en premier. Et pour mon deuxième examen aussi. Et pour le troisième aussi. Pouvez-vous croire qu'au 3e examen, en me voyant me lever, une bonne partie de la classe a vraiment éclaté de rire ? J'ai souhaité un bon congé des fêtes à tout le monde !

C'est moi ça. La plus rapide pour les examens. Pas de temps à perdre. Et pour ceux qui se le demandent, car on me l'a déjà demandé une fois, oui, je réponds aux questions. Et oui, j'ai le temps d'écire. Et oui, j'ai même une bonne note.

C'est pas de me faute. Je ne m'en excuse pas. Mais moi, les examens, je n'en échoue pas. En fait, je ne me souviens que d'un examen que j'ai échoué. Et je vous dirais qu'il travaille encore un peu mon orgueil...

Des fois, je m'ennuis de l'école...

samedi 25 septembre 2010

Un petit vrac (ça faisait longtemps)

Vous le savez, parfois, ça va trop de tous les côtés. Faut que je vous sorte un petit vrac pour mettre tout ça en place.

J'ai commencé à écouter un film il y a 3h30 de ça. Qui ne dure même pas 2h. Il n'est pas terminé. Pas qu'il n'est pas bon. Mais on dirait que je n'écoute plus la télé. Que je ne fais plus grand chose en fait. Je me demande où va mon temps. Ici beaucoup. Je le sais. Faut dire aussi que je m'amusais à terminer de corriger mon premier roman. Et c'est fait. J'ai fini ma première correction aujourd'hui. Ce qui veut dire que maintenant, j'ai une petite trouille. Immense. Parce qu'il ne reste qu'une étape possible avant de l'envoyer aux éditeurs. Le faire lire ailleurs. Plusieurs personnes se sont proposées. Mais j'hésite. Peut-être aussi que je devrais l'envoyer directement comme ça. Après tout, la moitié de ça me servait de projet final de certificat et j'avais eu d'excellents commentaires. Anyway, tout ça pour dire que ça s'en vient sérieux. Très sérieux.

Sinon, ô joie, j'ai trouvé le sujet du deuxième. Le premier était commencé depuis fort longtemps. J'ai régulièrement pensé, me suis demandé ce que je pourrais écrire d'autres. J'ai vaguement eu quelques idées. Mais ce n'était jamais ça. Et là, oui. Exactement le même feeling que j'ai ressenti en pensant au sujet de mon premier roman. La même chose. Un orgasme intellectuel si je puis dire. Je sais que je tiens mon sujet. Reste à voir si je pourrai l'écrire. L'accoucher comme j'ai fait avec le premier.

Ce que j'ai pour ne pas encore avoir fini mon film vous voulez savoir ? Fais de la bouffe et de la vaisselle. Quelle bouffe ? Du n'importe quoi. Ces temps-ci, je mange n'importe quoi. Pas que je mange mal. Mais je n'ai pas envie et on dirait pas le temps non plus, de faire de la bouffe. Résultat, j'ouvre mon frigo. Je prends plein de légumes que je fais cuire et j'ajoute whatever autre qui se trouve dans mon frigo. Puis des pâtes ou du riz. Quelqu'un veut venir souper demain soir ??? ;)

Sinon, ce qu'il y a d'autres... Euhhh ! J'ai failli tuer un commis dans un magasin cet après-midi. J'ai eu un geste violent envers le conducteur qui me klaxonnait derrière moi. J'ai envie de changer de look. J'ai envie d'oser. Je me suis achetée de jolies petites bottes. Mon chat dort. J'ai presque fini mes antibiotiques et je vais beaucoup mieux physiquement. J'ai couru 7.5 km hier pour tout dire. Bon, en deux temps, mais quand même ! J'ai appris quelque chose cette semaine. J'ai failli me brûler avec une fourchette. Ma clé USB est rendue mon bien le plus précieux à mon coeur........

Bon, ok, je pourrais continuer des heures. Mais j'ai un film à terminer moi là. Bisous mes chéris ! Et désolé pour ce vrac sans queue ni tête. :-P