Je pourrais écrire.
Mais je ne ferais que ressasser. Encore.
J'ai peur de vous lasser.
C'est vous dire comment il m'arrive de m'affliger...
dimanche 4 mars 2012
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Il arrive parfois des impulsions. Il arrive parfois d'être montréalaise. Il arrive parfois d'être une impulsive montréalaise... Et d'avoir beaucoup à dire.
10 commentaires:
La lumière n'est belle que parce que l'ombre existe. Patience...
Beau commentaire idmuse, j'allais écrire quelque chose de similaire, mais je préfère appuyé le commentaire :)
À bientôt bientôt, j'espère, l'impulsive!
Fais ce que dois...mon ami me disait toujours ça!...
Tu es la mieux placée pour savoir quand écrire et quand ne pas le faire.
Nous, on sera toujours là ;)
Mais si, écrivez!
L'effort déployé pour vous renouveler (de peur de nous "lasser") ne peut qu'être bénéfique, pourrait éloigner pour un temps l'affliction, et prouvera en tous cas que vous êtes toujours vivante, puisque vous communiquez; et que vous n'êtes pas seule, si on vous répond, (et on le fait)...
Enfin, je le vois comme ça.
Passez une douce journée,
N.
J'aime venir sur ce blogue, lire les textes qui se succèdent au fil des jours, spontanés et souvent criants d'émotions fortes, parfois plus légers.
Je tenais à le dire pour encourager peut-être, l'impulsive montréalaise à continuer.
Sandro ;)
Écrire pour dire qu'on ne va pas écrire... Héhéhé! Je connais ça.
Je pense qu'on est dûs pour une petite séance d'écriture collaborative, nous deux. Tu me fais signe, quand tu veux.
*hug*
Pendant presque 3 ans, je me suis lamenté sur le divan de mon psychanalyste que je n'avais tout simplement plus le goût de continuer à vivre très longtemps et que je ne voyais aucune raison logique de continuer. Je lui ai parlé de ça tellement souvent que je trouvais que c'était une perte de temps et de salive de le redire, que mes paroles en étaient rendues à être juste du bruit.
«Dites-le encore, qu'il me répondait, ça va être dit différemment, et il en ressortira toujours quelque chose.»
Alors pourquoi t'empêcher de ressasser? Il y a des oreilles (des yeux) pour t'écouter (te lire), et en plus tu n'as même pas besoin de nous payer. ;-)
Hé que j'aime le commentaire d'Un autre Bob...
@idmuse : Je dis souvent que la patience n'était pas dans mon package de naissance. Ça fait rire...
@Patty : Oh ! Je ne suis jamais très loin. Mais parfois, faut ce qu'il faut. Oui, elle a fait un beau commentaire idmuse.
@Michèle : Toujours c'est un gros mot. ;) Faut pas dire des choses comme ça. Si je suis toujours la mieux placée pour décider de mes actes.... euhh... je ne gagerais pas là-dessus.
@N : Il est vrai que ce petit endroit arrive souvent à me divertir, souvent à me rapprocher même si ce sont d'inconnus virtuels. Pas pire pour un simple blogue !
@Sandro : Mais que c'est charmant et joliment dit. C'est le genre de chose qu'il fait bon lire. :)
@Tattoo : Ce n'est pas nécessairement une question d'inspiration. Plutôt d'une certaine fatigue mentale. D'une lassitude. Mais oui, on se refait signe mon cher. Bises.
@Kalte : Oooohh ! Merci.
@Autre Bob : Tu es un grand sage Autre Bob. En tout cas, ton psychanalyste l'était. Ou bon, il voulait faire de l'argent, mais avec des propos quand même plein de bon sens. Il est vrai que même quand je me répète, j'y amène toujours autre chose. Et mes lecteurs aussi.
@Petite Libellule : Moi aussi ! Héhé ! C'est à se demander il a quel âge ce grand sage.... Hein, autre Bob ?
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