Je plaide désespérément coupable. Bon, joyeusement coupable disons.
Mon appartement a senti la bonne bouffe une grande partie de la fin de semaine !
Hier, j'ai fait un poulet rôti. Pas le choix. Dixit Kim, c'est la base de tout cuisinier qui se respecte que de savoir faire un bon poulet rôti. Je remercie donc Kim. Et Jamie Oliver ! Je me respecte beaucoup depuis hier soir. Une cuisse de poulet qui fondait dans la bouche. Miam !
Ce matin, crêpes/pancakes à la banane. Un merci à Mademoiselle B, ici. Cette recette-là fait définitivement parti de mon répertoire depuis que je l'ai essayée.
Cet après-midi, muffins aux carottes ! Le nom ne rend tellement pas hommage au goût superbe qu'ils ont. J'ai dû en mangé deux du coup. Vous savez, contrôle de la qualité.
Et là, ça sent les pâtes crevettes-lait de coco. Ça semble prometteur.
À cuisiner comme ça, je m'aperçois d'une chose. À quel point la bouffe c'est convivial, rassembleur. Ça donne envie de s'asseoir et de jaser. De prendre le temps, de savourer. C'est amical. Et la bouffe d'automne encore plus.
Sauf quand on est seule. Alors là, on mange avec son ordi ou devant la télé ! En plus, ça permet de rester en jaquette vu qu'on ne s'est pas encore habillée de la journée (ben quoi, c'est gris et moche dehors !). Pas de la grosse misère tout de même. N'empêche... Qui vient souper ?
dimanche 30 septembre 2012
samedi 29 septembre 2012
S'arrêter
Cet après-midi, j'ai fait quelques courses ici et là. Et j'ai constaté comment parfois, trop souvent, on ne prend pas le temps de s'arrêter et de vivre le moment présent.
Voyez-vous, ça sentait le gris et la pluie. Alors je me disais que je devais me dépêcher. Espérant pouvoir éviter que ça me tombe dessus. Je volais sur les trottoirs. Et comme vous le savez, je suis quelqu'un qui marche beaucoup. Alors si je dis que je volais...
Puis, tout à coup, je me suis arrêtée. Non pas physiquement, mais mentalement. Pourquoi je courais ainsi ? Je suis à Montréal, je peux me réfugier dans des commerces, dans des restaurants. La pluie ne tue personne. J'ai même joyeusement visité une petite île à vélo sous la pluie pendant mes vacances en Irlande. Alors, pourquoi étais-je en train de courir, l'esprit absent, sous prétexte que ça sentait la pluie ?
Ce n'est qu'un exemple. Mais combien de fois court-on ? Au propre ou au figuré. Combien de fois ne prend-t-on pas le temps de vivre le moment, de s'apercevoir de ce qu'on fait, de vivre simplement ?
J'ai ralenti. J'ai regardé autour de moi. J'ai humé l'air délicieux de l'automne. N'est-ce pas que l'air goûte bon en automne ? J'ai juste pris le temps. Et vous savez quoi ? Pas une goutte de pluie pendant que j'étais dehors !! Comme quoi trop souvent on a peur de choses qui n'arriveront jamais au fond...
Voyez-vous, ça sentait le gris et la pluie. Alors je me disais que je devais me dépêcher. Espérant pouvoir éviter que ça me tombe dessus. Je volais sur les trottoirs. Et comme vous le savez, je suis quelqu'un qui marche beaucoup. Alors si je dis que je volais...
Puis, tout à coup, je me suis arrêtée. Non pas physiquement, mais mentalement. Pourquoi je courais ainsi ? Je suis à Montréal, je peux me réfugier dans des commerces, dans des restaurants. La pluie ne tue personne. J'ai même joyeusement visité une petite île à vélo sous la pluie pendant mes vacances en Irlande. Alors, pourquoi étais-je en train de courir, l'esprit absent, sous prétexte que ça sentait la pluie ?
Ce n'est qu'un exemple. Mais combien de fois court-on ? Au propre ou au figuré. Combien de fois ne prend-t-on pas le temps de vivre le moment, de s'apercevoir de ce qu'on fait, de vivre simplement ?
J'ai ralenti. J'ai regardé autour de moi. J'ai humé l'air délicieux de l'automne. N'est-ce pas que l'air goûte bon en automne ? J'ai juste pris le temps. Et vous savez quoi ? Pas une goutte de pluie pendant que j'étais dehors !! Comme quoi trop souvent on a peur de choses qui n'arriveront jamais au fond...
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L'impulsive montréalaise
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18:11
vendredi 28 septembre 2012
Petite misère
Envie réelle : Sortir prendre un verre ou deux, faire la folle et dire des niaiseries.
Prévu à l'horaire : Soirée cocooing avec un chat colleux.
Soit.
Ce n'est pas la grande misère non plus.
Prévu à l'horaire : Soirée cocooing avec un chat colleux.
Soit.
Ce n'est pas la grande misère non plus.
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L'impulsive montréalaise
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18:33
Aaaaaah ! les matins...
Je me demande pourquoi j'ai de la difficulté à me lever le matin ces temps-ci.
Je veux dire, je suis en forme physiquement, mon moral est bon, je vais bien, je me couche à des heures raisonnables, ne me lève pas trop tôt et dors "relativement" (ce qui pour moi est excellent) bien.
Mais c'est teeeeeellement dur se lever le matin ces jours-ci !
La clarté peut-être ? L'envie de cocooing automnal ? Le ronron du chat et la chaleur du lit ? Imaginez si j'aurais des petits pieds tous chauds d'un charmant jeune homme avec moi en plus... !
Dur, dur, dur !
Je veux dire, je suis en forme physiquement, mon moral est bon, je vais bien, je me couche à des heures raisonnables, ne me lève pas trop tôt et dors "relativement" (ce qui pour moi est excellent) bien.
Mais c'est teeeeeellement dur se lever le matin ces jours-ci !
La clarté peut-être ? L'envie de cocooing automnal ? Le ronron du chat et la chaleur du lit ? Imaginez si j'aurais des petits pieds tous chauds d'un charmant jeune homme avec moi en plus... !
Dur, dur, dur !
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L'impulsive montréalaise
à
08:37
mercredi 26 septembre 2012
Envies d'avenir
Je pensais m'ennuyer de ses lèvres. Me rappeler de sa pesanteur. De sa volonté.
Mais si peu.
Je me disais que j'allais mourir d'ennui.
M'ennuyer de rien ?
Je revois les images. L'ardeur de ses baisers. Son envie de moi. Ses mains qui m'ont brûlé le corps.
Je ne les sens plus.
Une nuit unique. Our only night. Des mots, des murmures, des désirs sans fard.
Maintenant, c'est le vide. Des nuits sans souvenir. Des matins encore sans avenir. Des matins à créer.
Je m'ennuis.
Pas de la beauté de ce qui a existé. Plutôt de l'avenir qui n'est pas encore arrivé.
Si on voudrait l'avenir davantage que le passé, le monde se porterait tellement mieux.
Ô comme j'ai des envies d'avenir...
Mais si peu.
Je me disais que j'allais mourir d'ennui.
M'ennuyer de rien ?
Je revois les images. L'ardeur de ses baisers. Son envie de moi. Ses mains qui m'ont brûlé le corps.
Je ne les sens plus.
Une nuit unique. Our only night. Des mots, des murmures, des désirs sans fard.
Maintenant, c'est le vide. Des nuits sans souvenir. Des matins encore sans avenir. Des matins à créer.
Je m'ennuis.
Pas de la beauté de ce qui a existé. Plutôt de l'avenir qui n'est pas encore arrivé.
Si on voudrait l'avenir davantage que le passé, le monde se porterait tellement mieux.
Ô comme j'ai des envies d'avenir...
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L'impulsive montréalaise
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20:43
mardi 25 septembre 2012
La vie est un état d'esprit
Je l'ai déjà dit, et je le crois vraiment, la vie est un état d'esprit. Bien souvent, du moins. Ce qui ne veut pas dire que je trouve facile de corriger un état d'esprit plus ou moins adéquat. Je sais les choses. Mais pour l'application, il peut parfois y avoir certaines difficultés. C'est le travail d'une vie. Je fais parfois l'analogie de l'ordinateur. Ce n'est pas parce qu'on entre une donnée et qu'on appuie sur enter qu'alors le problème est réglé.
Toujours est-il que mon état d'esprit se porte bien ces jours-ci. Merci de demander. :) Et on dirait qu'on voit davantage de portes, de possibilités, de belles choses quand c'est le cas.
J'ai croisé une très vague connaissance hier. Les épaules basses, le regard las. Je me suis dit que ça ne lui tentait plus. Du genre, elle a abandonné. Une attitude triste et défaite. J'ai eu un léger mouvement de révolte, physiquement, tout en me disant que je ne voulais pas que ça ne me tente plus. J'ai envie que ça me tente. J'ai envie de dévorer. De vivre. De brûler haut.
Je suis chanceuse, car mon état d'esprit a envie de ça en ce moment. Mais en vérité, ce qu'il faut, c'est agir. Certes, l'état d'esprit positif aide à avoir envie d'agir et à agir tout simplement. Alors, j'agis.
Comme je le disais, je me réserve des activités. Je veux vraiment sortir plus. Expérimenter plus. Goûter plus. Toucher plus. Et quand on est ouvert, la vie fait elle-même les portes. Deux offres d'emplois. Une pour laquelle j'ai pris l'info, mais qui finalement ne me tente pas. Mais au moins, je me suis mobilisée, renseignée. La deuxième, une offre vraiment intéressante, car je garderais mon emploi actuel, mais j'aurais à l'occasion d'autres types de tâches à faire. J'applique cette semaine !
Je crois que quand on envoie des bonnes ondes à la vie, elle nous le rend bien. Je le redis, parfois, je ne sais juste plus comment m'y prendre et comment améliorer mon état d'esprit. Je n'ai pas de baguette magique. Mais j'y travaille. Et quand je suis tout simplement soulevée par les évènements et les sentiments, alors là, c'est comme un état de grâce. Et j'adore ça !
Et vous, vous pourriez faire quoi pour agir ? Qui sait si ça ne changerait pas votre état d'esprit !
Toujours est-il que mon état d'esprit se porte bien ces jours-ci. Merci de demander. :) Et on dirait qu'on voit davantage de portes, de possibilités, de belles choses quand c'est le cas.
J'ai croisé une très vague connaissance hier. Les épaules basses, le regard las. Je me suis dit que ça ne lui tentait plus. Du genre, elle a abandonné. Une attitude triste et défaite. J'ai eu un léger mouvement de révolte, physiquement, tout en me disant que je ne voulais pas que ça ne me tente plus. J'ai envie que ça me tente. J'ai envie de dévorer. De vivre. De brûler haut.
Je suis chanceuse, car mon état d'esprit a envie de ça en ce moment. Mais en vérité, ce qu'il faut, c'est agir. Certes, l'état d'esprit positif aide à avoir envie d'agir et à agir tout simplement. Alors, j'agis.
Comme je le disais, je me réserve des activités. Je veux vraiment sortir plus. Expérimenter plus. Goûter plus. Toucher plus. Et quand on est ouvert, la vie fait elle-même les portes. Deux offres d'emplois. Une pour laquelle j'ai pris l'info, mais qui finalement ne me tente pas. Mais au moins, je me suis mobilisée, renseignée. La deuxième, une offre vraiment intéressante, car je garderais mon emploi actuel, mais j'aurais à l'occasion d'autres types de tâches à faire. J'applique cette semaine !
Je crois que quand on envoie des bonnes ondes à la vie, elle nous le rend bien. Je le redis, parfois, je ne sais juste plus comment m'y prendre et comment améliorer mon état d'esprit. Je n'ai pas de baguette magique. Mais j'y travaille. Et quand je suis tout simplement soulevée par les évènements et les sentiments, alors là, c'est comme un état de grâce. Et j'adore ça !
Et vous, vous pourriez faire quoi pour agir ? Qui sait si ça ne changerait pas votre état d'esprit !
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L'impulsive montréalaise
à
08:35
lundi 24 septembre 2012
Souvenir d'une brève rencontre
Il arrive trop souvent qu'on brise mes digues.
Ne serait-ce que temporairement.
Au fond, je ne suis qu'un flot incontrôlable.
Ne serait-ce que temporairement.
Au fond, je ne suis qu'un flot incontrôlable.
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L'impulsive montréalaise
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08:32
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