Remerciez-vous parfois le Dieu des rencontres impromptues ? Ça m'arrive. Honteusement. Vous savez, vous croisez cet ancien amant/chum/fréquentation (au féminin pour vous messieurs). Vous remerciez d'avoir une jolie jupe, d'avoir un chandail dans lequel vos seins paraissent foutrement biens, d'avoir eu des cheveux qui se laissaient placer sans rechigner le matin. Amen.
On s'entend. On ne veut pas nécessairement plaire de nouveau à ces gens. On ne veut pas qu'ils nous voient même. Surtout pas qu'ils nous parlent. Parfois aussi, on a encore un peu ça sur le coeur. On est en paix avec le passé, oui. On devait vivre ça et on l'a accepté. Mais n'empêche qu'on ne considère pas moins le gars en question comme un pur trou-de-cul.
Mais c'est là. Comme un réflexe d'attraper une balle qu'on nous pitche dans la face. On se regarde, vite un petit double-check. Fiou ! Ou merde ! (selon les matins). Je me demande pourquoi.
J'veux dire, on ne veut pas nécessairement ravoir ce gars. Ni lui plaire encore. Ni lui montrer ce qu'il manque. Ni le faire baver. Ni même qu'il revienne de près ou de loin dans notre vie. Alors bon, pourquoi ce besoin de bien paraître ? Réflexe un peu bébé, non ? Bah ! Ça arrive...
mercredi 30 mai 2012
mardi 29 mai 2012
Un peu d'ennui
Il y a différentes façons de s'ennuyer. On ne croirait pas pourtant. Je m'ennuis, je ne m'ennuis pas et voilà tout. Mais il y a plus que ce tout.
C'est facile de s'ennuyer de quelqu'un qu'on voit à l'occasion. On a notre sniffe quasi-journalière ou hebdomadaire, on découvre qu'on en veut plus... Le vrai défi, c'est de s'ennuyer de quelqu'un qu'on ne voit plus. On doit tout inventer. Créer des évènements. Imaginer des paroles. Multiplier les ressentis imaginaires. C'est un monde de toutes pièces. Une non existence.
Tu me donnes envie de créer. Parce que la réalité ne rejoindra jamais la fiction. Parce que je n'ai aucun autre choix. Tu me donnes envie de m'ennuyer.
Tu me fais monter le coeur vers des sommets. Puis redescendre. C'est pire que des montagnes russes. Ça fout le bordel dans tous les organes du corps. Ça branche sur le 220. Ça fout des raz-de-marées dans le fond de la gorge.
C'est comme ça que tu me donnes envie de m'ennuyer. Comme une pitoyable. Comme une misérable. Comme une sale enfant capricieuse qui ne réussit pas à obtenir le jouet qu'elle veut. Comme une adolescente qui rougit devant les mots du sexe. Tu me donnes envie de tout revivre pour la première fois. Tu me donnes envie de m'ennuyer différemment d'avec tous les autres.
C'est facile de s'ennuyer de quelqu'un qu'on voit à l'occasion. On a notre sniffe quasi-journalière ou hebdomadaire, on découvre qu'on en veut plus... Le vrai défi, c'est de s'ennuyer de quelqu'un qu'on ne voit plus. On doit tout inventer. Créer des évènements. Imaginer des paroles. Multiplier les ressentis imaginaires. C'est un monde de toutes pièces. Une non existence.
Tu me donnes envie de créer. Parce que la réalité ne rejoindra jamais la fiction. Parce que je n'ai aucun autre choix. Tu me donnes envie de m'ennuyer.
Tu me fais monter le coeur vers des sommets. Puis redescendre. C'est pire que des montagnes russes. Ça fout le bordel dans tous les organes du corps. Ça branche sur le 220. Ça fout des raz-de-marées dans le fond de la gorge.
C'est comme ça que tu me donnes envie de m'ennuyer. Comme une pitoyable. Comme une misérable. Comme une sale enfant capricieuse qui ne réussit pas à obtenir le jouet qu'elle veut. Comme une adolescente qui rougit devant les mots du sexe. Tu me donnes envie de tout revivre pour la première fois. Tu me donnes envie de m'ennuyer différemment d'avec tous les autres.
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L'impulsive montréalaise
à
08:11
mercredi 23 mai 2012
Femme cherche motivation
Vous vous souvenez sûrement/peut-être de ce texte où je parlais pour la première fois de mon processus de perte de poids. C'était en novembre dernier et j'étais en pleine euphorie. Oui, j'étais. Oh ! je le suis encore. Beaucoup ! Beaucoup, beaucoup ! Après ce texte, j'ai continué encore environ un mois mon processus et je me suis rendue à 20 lbs perdues en 5 mois. Après, j'ai pris une pause. C'était le temps de ma fête, des fêtes, de l'hiver. On bouge un peu moins l'hiver. On mange un peu plus. Ça m'allait. Surtout que je n'ai rien repris du tout. Et ce, sans aucune difficulté. Je pouvais fluctuer d'une ou deux lbs après une grosse soirée, mais je revenais vite à mon - 20.
Puis, l'hiver s'est terminé. Et l'envie de continuer est revenue. Après tout, j'avais envie de perdre 35 ou 40 lbs au départ. J'ai donc essayé de revenir plus à l'exercice, de surveiller de nouveau les quantités. Mais c'est difficile. Le coeur n'y est pas. Pour l'exercice du moins. J'ai perdu 2 lbs supplémentaires depuis que j'ai plus ou moins recommencé. 2 pauvres petites lbs. Pour un total de 22 lbs donc par rapport au 7 juillet dernier. Une différence de 32 lbs par rapport à mon poids le plus élevé atteint.
Je suis contente. J'aime mon nouveau corps. Mais je les veux ces 13 lbs (encore mieux 18) supplémentaires. Je serais alors à 9 lbs (si j'atteins 18) de mon poids idéal tel que déjà calculé dans un gym quand j'étais plus jeune. Je n'aime pas les brindilles, alors entre ces deux chiffres-là, ça me conviendrait et je serais juste bien roulée (Ahaahhahah ! euhh...). Je les veux, mais je suis un peu découragée.
Pas parce que je ne sais pas quoi faire. Je le sais. Je sais quoi faire, comment le faire. Je sais même que je suis capable d'y arriver.
C'est la motivation pour faire du sport. J'essaie de la trouver, mais c'est difficile. Je marche. La semaine dernière, j'ai eu un petit élan, je suis allée courir 4 fois (des petites sorties toutefois). J'en fais un peu ici et là. Mais pas assez. Pas ce qu'il faudrait pour ces maudites 13. Et j'ai beau aimé le chiffre 13, j'aimerais bien qu'il se tasse de là. Mais je ne sais pas comment faire pour me motiver. Moi qui était si motivée l'été et l'automne dernier. Moi qui aime le sport. Moi qui m'ennuie du sport. Je ne sais pas ce que j'ai. Je suis jalouse des personnes qui veulent maigrir et qui ont un réseau de support. Des amis, de la famille avec qui aller marcher, courir, aller à la piscine, jouer au badminton ou whatever. Je ne le dis pas pour faire pitié. Mais je n'ai pas ça, moi. Et là, j'en aurais besoin. Oui, je suis fière du chemin parcouru. Oui, j'apprécie de plus en plus mon corps. Oui, les tailles de vêtements n'arrêtent pas de diminuer. Mais oui, ces maudites 13 lbs, je veux les envoyer valser ! Je vais.
Ça s'achète un gros paquet de motivation pour fille qui aime son sofa et son sommeil vraiment beaucoup ces temps-ci ?
Puis, l'hiver s'est terminé. Et l'envie de continuer est revenue. Après tout, j'avais envie de perdre 35 ou 40 lbs au départ. J'ai donc essayé de revenir plus à l'exercice, de surveiller de nouveau les quantités. Mais c'est difficile. Le coeur n'y est pas. Pour l'exercice du moins. J'ai perdu 2 lbs supplémentaires depuis que j'ai plus ou moins recommencé. 2 pauvres petites lbs. Pour un total de 22 lbs donc par rapport au 7 juillet dernier. Une différence de 32 lbs par rapport à mon poids le plus élevé atteint.
Je suis contente. J'aime mon nouveau corps. Mais je les veux ces 13 lbs (encore mieux 18) supplémentaires. Je serais alors à 9 lbs (si j'atteins 18) de mon poids idéal tel que déjà calculé dans un gym quand j'étais plus jeune. Je n'aime pas les brindilles, alors entre ces deux chiffres-là, ça me conviendrait et je serais juste bien roulée (Ahaahhahah ! euhh...). Je les veux, mais je suis un peu découragée.
Pas parce que je ne sais pas quoi faire. Je le sais. Je sais quoi faire, comment le faire. Je sais même que je suis capable d'y arriver.
C'est la motivation pour faire du sport. J'essaie de la trouver, mais c'est difficile. Je marche. La semaine dernière, j'ai eu un petit élan, je suis allée courir 4 fois (des petites sorties toutefois). J'en fais un peu ici et là. Mais pas assez. Pas ce qu'il faudrait pour ces maudites 13. Et j'ai beau aimé le chiffre 13, j'aimerais bien qu'il se tasse de là. Mais je ne sais pas comment faire pour me motiver. Moi qui était si motivée l'été et l'automne dernier. Moi qui aime le sport. Moi qui m'ennuie du sport. Je ne sais pas ce que j'ai. Je suis jalouse des personnes qui veulent maigrir et qui ont un réseau de support. Des amis, de la famille avec qui aller marcher, courir, aller à la piscine, jouer au badminton ou whatever. Je ne le dis pas pour faire pitié. Mais je n'ai pas ça, moi. Et là, j'en aurais besoin. Oui, je suis fière du chemin parcouru. Oui, j'apprécie de plus en plus mon corps. Oui, les tailles de vêtements n'arrêtent pas de diminuer. Mais oui, ces maudites 13 lbs, je veux les envoyer valser ! Je vais.
Ça s'achète un gros paquet de motivation pour fille qui aime son sofa et son sommeil vraiment beaucoup ces temps-ci ?
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L'impulsive montréalaise
à
20:21
lundi 21 mai 2012
Histoire de morts
Il m'arrive régulièrement de penser à ma propre mort. De tellement de façons.
Parfois, dans des moment de découragement, des moments tristes de déjà vu, je me dis que je serais peut-être mieux morte. Fini les tracas, les batailles, les manques.
D'autres fois, je vis un beau moment de plénitude. Comme hier soir, dans ma voiture, en revenant de passer une belle journée. Et je me dis que je pourrais mourir. Même pas besoin que ce soit ma faute. Juste un chauffard un peu fou, quelqu'un qui conduit en état d'ébriété. Me faire frapper et mourir sur le coup. Est-ce que j'aurais le temps de voir les choses venir ? Dans ces moments-là, l'idée de la mort m'effraie et me donne le vertige. La tête m'en tourne.
Cette nuit, probablement en suite à ces pensées, j'ai rêvé que je préparais ma mort. Je savais que je devais mourir à la fin de la journée alors je préparais les choses. Je disais mes adieux, j'écrivais quelques lettres, je serrais les gens, je rangeais mes choses, j'en brûlais d'autres. C'est f-r-e-a-k-a-n-t comme rêve. Et dire qu'il y a des gens qui doivent faire ça. Des gens qui savent. Malades. Ou vieux. Et combien d'autres qui ne savent pas.
Oui, je sais, tout un sujet par un lundi férié ensoleillé... Des choses qui arrivent !
Parfois, dans des moment de découragement, des moments tristes de déjà vu, je me dis que je serais peut-être mieux morte. Fini les tracas, les batailles, les manques.
D'autres fois, je vis un beau moment de plénitude. Comme hier soir, dans ma voiture, en revenant de passer une belle journée. Et je me dis que je pourrais mourir. Même pas besoin que ce soit ma faute. Juste un chauffard un peu fou, quelqu'un qui conduit en état d'ébriété. Me faire frapper et mourir sur le coup. Est-ce que j'aurais le temps de voir les choses venir ? Dans ces moments-là, l'idée de la mort m'effraie et me donne le vertige. La tête m'en tourne.
Cette nuit, probablement en suite à ces pensées, j'ai rêvé que je préparais ma mort. Je savais que je devais mourir à la fin de la journée alors je préparais les choses. Je disais mes adieux, j'écrivais quelques lettres, je serrais les gens, je rangeais mes choses, j'en brûlais d'autres. C'est f-r-e-a-k-a-n-t comme rêve. Et dire qu'il y a des gens qui doivent faire ça. Des gens qui savent. Malades. Ou vieux. Et combien d'autres qui ne savent pas.
Oui, je sais, tout un sujet par un lundi férié ensoleillé... Des choses qui arrivent !
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L'impulsive montréalaise
à
10:43
dimanche 20 mai 2012
mercredi 16 mai 2012
Vous. Oui, oui, vous !
Il m'arrive parfois de regarder autour de moi, d'avoir un éclair de lucidité... et de freaker ! De freaker sur vous. Oui, je parle de vous. Mes lecteurs.
Dans le métro, ce gars qui lit sur son portable. Au bureau, cette fille qui regarde attentivement son écran. Au resto, cette personne assise seule qui profite du WIFI. L'internet est partout. Et même sans internet. Ce beau gars que je croise et que je frencherais sans hésiter. Cette fille sympathique avec qui je pourrais bien devenir amie. Ce voisin étrange, presque inquiétant. Cette caissière à l'épicerie. L'homme de ma vie qui ne sait pas encore que je suis la femme de sa vie (prière de me contacter, svp). Partout autour, vous êtes là. Vous me lisez régulièrement. Vous savez mes humeurs, mes envies, mes mots, mes maux aussi, mes joies, mon petit quotidien. Peut-être même que je vous connais. Je me souviens d'avoir vu la photo d'une fille que je croisais souvent sur le blogue d'une fille qui me lisait et réciproquement.
C'est presque inquiétant parfois. Je crois que c'est pour ça que je ne nomme pas et que je ne mets pas de photo de moi. Non que j'aie quelque chose à cacher. Mais quel feeling ce serait de me dire que la personne qui est en train de me dévisager me lit peut-être, me connaît intimement... et que moi, non seulement je n'en sais rien, mais je ne la connais pas non plus cette personne... Ça vous fait pas drôle vous aussi parfois ?
Dans le métro, ce gars qui lit sur son portable. Au bureau, cette fille qui regarde attentivement son écran. Au resto, cette personne assise seule qui profite du WIFI. L'internet est partout. Et même sans internet. Ce beau gars que je croise et que je frencherais sans hésiter. Cette fille sympathique avec qui je pourrais bien devenir amie. Ce voisin étrange, presque inquiétant. Cette caissière à l'épicerie. L'homme de ma vie qui ne sait pas encore que je suis la femme de sa vie (prière de me contacter, svp). Partout autour, vous êtes là. Vous me lisez régulièrement. Vous savez mes humeurs, mes envies, mes mots, mes maux aussi, mes joies, mon petit quotidien. Peut-être même que je vous connais. Je me souviens d'avoir vu la photo d'une fille que je croisais souvent sur le blogue d'une fille qui me lisait et réciproquement.
C'est presque inquiétant parfois. Je crois que c'est pour ça que je ne nomme pas et que je ne mets pas de photo de moi. Non que j'aie quelque chose à cacher. Mais quel feeling ce serait de me dire que la personne qui est en train de me dévisager me lit peut-être, me connaît intimement... et que moi, non seulement je n'en sais rien, mais je ne la connais pas non plus cette personne... Ça vous fait pas drôle vous aussi parfois ?
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L'impulsive montréalaise
à
19:21
lundi 14 mai 2012
La constance de mon inconstance
Je suis inconstante. Inconstante, j'ai dit. Pas incontinente. Quoique de la parole parfois... Mais là n'est pas le sujet ! L'inconstance, mon inconstance.
Il faut le dire, je suis un peu tête folle. Je fais les choses sur le coup. J'ai des motivations soudaines et brusques. Je suis une impulsive. Oui, bon, première nouvelle, vous me direz ! Mon nom de blogue est assez clair.... Soit. C'est une qualité qui me va et que je ne cherche pas à renier. Mais j'aimerais beaucoup déloger l'inconstance de là. La dégreffer d'avec mon impulsivité.
La course. Je suis motivée en ce moment. Petite course hier, petite course aujourd'hui. Je me dis vaut mieux y aller petit peu souvent que rarement beaucoup. Mais chaque fois que j'ai dit ça, je me suis éventuellement trouvée des excuses. Pour ne pas y aller, pour baisser la cadence, la pauvre fréquence. La passion reste toujours là. Mais elle se dissimule parfois sous la fatigue, le manque de temps, le rouillage du corps...
L'écriture. Oui, je le concède, mon blogue est probablement un exemple de constance sur cette blogosphère fluctuante. Mais la vérité, c'est qu'ici, ce n'est pas tant écrire pour moi. C'est jaser. Je vous jase. Je vous aime de quelques mots. Mes projets d'écriture, eux... Je peux me lancer tête première pendant un moment. Puis accumuler la poussière pendant un moment beaucoup plus long.
Certains diront peut-être persévérance. Ce n'est certes pas le cas. Non, juste une grossière inconstance. Je laisse les choses trop aller et ça dégénère... soit dans l'action effrenée, soit dans la paresse incarnée. Petit train va loin dit-on... Je n'ai pas un train, moi. J'ai une fusée ! Ça décolle moins souvent, ça part en vacarme. Remarquez, dit comme ça, je me trouve presque hot. Ouin.. Arrrf !
Il faut le dire, je suis un peu tête folle. Je fais les choses sur le coup. J'ai des motivations soudaines et brusques. Je suis une impulsive. Oui, bon, première nouvelle, vous me direz ! Mon nom de blogue est assez clair.... Soit. C'est une qualité qui me va et que je ne cherche pas à renier. Mais j'aimerais beaucoup déloger l'inconstance de là. La dégreffer d'avec mon impulsivité.
La course. Je suis motivée en ce moment. Petite course hier, petite course aujourd'hui. Je me dis vaut mieux y aller petit peu souvent que rarement beaucoup. Mais chaque fois que j'ai dit ça, je me suis éventuellement trouvée des excuses. Pour ne pas y aller, pour baisser la cadence, la pauvre fréquence. La passion reste toujours là. Mais elle se dissimule parfois sous la fatigue, le manque de temps, le rouillage du corps...
L'écriture. Oui, je le concède, mon blogue est probablement un exemple de constance sur cette blogosphère fluctuante. Mais la vérité, c'est qu'ici, ce n'est pas tant écrire pour moi. C'est jaser. Je vous jase. Je vous aime de quelques mots. Mes projets d'écriture, eux... Je peux me lancer tête première pendant un moment. Puis accumuler la poussière pendant un moment beaucoup plus long.
Certains diront peut-être persévérance. Ce n'est certes pas le cas. Non, juste une grossière inconstance. Je laisse les choses trop aller et ça dégénère... soit dans l'action effrenée, soit dans la paresse incarnée. Petit train va loin dit-on... Je n'ai pas un train, moi. J'ai une fusée ! Ça décolle moins souvent, ça part en vacarme. Remarquez, dit comme ça, je me trouve presque hot. Ouin.. Arrrf !
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L'impulsive montréalaise
à
21:07
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