dimanche 28 novembre 2010

Conseil express

Si jamais tu feels pas trop, que t'as eu un p'tit dimanche un brin morose, j'ai la solution !

Mets tes décorations de Noël ! C'est pas garanti que tu vas te sentir en pleine forme d'un coup. Mais assurément ton appartement aura l'air beaucoup plus festif !

Vive le temps des fêtes !

Constat affligeant

L'être humain est décevant.

J'ai un talent. Un talent à 2 faces disons. Je sais quand on parle de moi dans mon dos ou qu'on me ment. Je le sens. Ok, il m'est arrivé à certaines occasions de me laisser aller à une certaine paranoïa. Mais en général, j'ai raison. En général, je ne m'étais pas trompée. Je le sais parce que les preuves suivent.

L'être humain est très décevant ces temps-ci.

Ça donne envie de s'en aller loin, seule et d'y rester.

samedi 27 novembre 2010

L'escapade est finie

Ce matin, quand je me suis levée, j'ai ouvert les rideaux de la chambre d'hôtel. C'était magnifique. Je ne suis pas de celle qui tripe sur la neige. Surtout à la fin de l'hiver quand on est écoeurés collectivement d'en voir. Mais là, c'était nouveau, c'était joli, c'était la campagne. Juste à regarder, on sentait l'air pur, les odeurs de nature. La neige tombait, silencieuse. Un endroit apaisant.

J'ai toujours trouvé que les silences à la campagne étaient différents des silences à la ville. Plus sculptural, plus impressionnant. Lourd et plein de paix.

Les saisons n'arrivent pas au même moment ni de la même façon qu'à la ville. À Montréal, j'ai parfois l'impression qu'il n'y a pas de saison d'une certaine manière. L'hiver, c'est un champ enneigé. Pas de la slush et de la neige multicolore.

















Mais bon, fini la campagne. L'escapade est terminée. Ça m'a fait du bien. Hôtel, massage, souper de fromages et salade, piscine, bain tourbillon, marche dans la nature. Et photos bien entendu. Terminé tout ça. De retour à Montréal. Pour la vie de tous les jours. J'aurais bien pris une nuit de plus...

vendredi 26 novembre 2010

Nulle part

Je suis perdue au milieu de nulle part.

Quelque part dans le bois. Dans un hôtel dans le bois en fait.

C'est l'hiver, c'est le calme, c'est relaxant.

jeudi 25 novembre 2010

Vu dans le métro

Un monsieur, un adulte, qui suçait son pouce. Goulûment. Avec coeur.

Euhhhhhhhhh !?!?

Ça, c'est en plus du sosie de Mr. Bean. Pas physiquement. Dans ses agissements.

mercredi 24 novembre 2010

Ces peines

On a tous eu de ces peines. De coeur, d'amour. Des peines incommensurables, sans fin, sans limite. Des peines d'amour qui écorchent l'intérieur dans ce qu'il a de plus profond et de plus intime.

Je les comprend ces peines. Sans les comprendre. Je les comprend pour les avoir vécues. Pour avoir eu le coeur en charpie et l'âme en lambeaux. Pour avoir manqué de souffle et de battements de coeur pendant un instant. Et pourtant... Mes connaissances se limitent à l'expérience. Pas à la connaissance objective d'une chose. Car comment peut-on donner autant de pouvoir à quelqu'un ? Un pouvoir de presque nous anéantir, d'assurément nous faire mal dans le corps et le coeur comme si on allait en mourir. Comment peut-on remettre les clés de son coeur ? Ces clés-là, personne d'autre que nous-mêmes ne devraient les posséder. Personne. Ouvrir son coeur, l'ouvrir vraiment à l'amour ne devrait jamais être de se déposséder de son propre coeur.

Pourtant, on l'a tous fait. On a tous donné les clés, fermé les yeux et espéré ne jamais le regretter. On s'est tous fait dire non, ou c'est fini, ou je ne t'aime plus. On a tous ressenti un mal intense et physique devant ces mots.

Mais si ce n'était pas ça le véritable amour ?

Au coeur de la nuit

Je ne comprends pas pourquoi l'insomnie réveille souvent en moi un fond d'angoisses.

Je ne comprends pas. Mais je constate trop souvent.

Pourquoi la nuit crée-t-elle ça chez moi ? Ça vous fait pareil, vous ?