dimanche 28 février 2010

Sous-utilisation

Dernièrement, j'ai lu un texte qui parlait de tout ce qu'il y a à faire à Montréal.

J'ai réalisé que, comme bien des gens, je sous-utilise ma ville. Je voyage beaucoup. Mais c'est quand même drôle de dire que j'ai probablement plus joué à la touriste dans la ville de Londres en une semaine par exemple que dans Montréal depuis les 11-12 ans que j'y habite.

Puis, une autre question m'est venue. Est-ce que je sous-utilise ma vie aussi ?

J'essaie de me consoler en me disant que je ne suis pas la seule. Ni la pire.

samedi 27 février 2010

Martine fait connaissance avec le tueur

AVERTISSEMENT. AVERTISSEMENT. Vous vous apprêtez à lire la première phrase la plus longue possible de ce blogue et pas si enlevante que ça. Mais après ça s'améliore. La persévérance est toujours récompensée ! :s

Donc :

J'avais envie de vous écrire un peu en ce magnifique (!) après-midi... sauf que j'ai envie de faire plein de choses (sortir profiter de mon superbe extraordinaire nouvel appareil-photo (panrenthèse dans la parenthèse, j'addoooooore la photo) ou bien écouter un film ou aller faire un tour à l'épicerie ou cuisiner ou vous écrire un billet sur ce blogue donc) et tout ce à quoi j'arrive jusqu'à maintenant c'est faire des trucs extrêmement végétatifs en écoutant ma musique assez fort pour essayer de me réveiller et en me disant que c'est ben triste le truc de Joanie Rochette et quelle courage tout de même et en trouvant mon chat beau parce que j'aère un peu l'intérieur et que pour lui, il n'y a rien de plus agréable que de se faire aller le poil dans le vent sur le bord d'une fenêtre (autre parenthèse : monsieur est d'intérieur et ne va pas dehors... donc la brise c'est une merveille pour lui... ça et se faire dorer la couenne sur le bord de la fenêtre (deuxième parenthèse à l'intérieur d'une parenthèse, vous conviendrez toutefois que pour le soleil, on repassera aujourd'hui) en faisant une sieste).

Bon, la phrase maudite est finie et bien décousue.

Donc parce que je suis dans cet état végétatif et un peu émotif cute, je vous recycle ce texte ci-bas qui raconte ma première rencontre avec mon chat. Qui date de plus d'une décennie. C'est un petit texte que j'avais écrit dans le cadre d'un courriel bi-mensuel que j'envoyais à quelques amis et qui racontaient LES AVENTURES DE MARTINE. Rien de sexuel là. Aventures point. Voici donc la rencontre avec le tueur. :)

Ce jour-là, il devait neiger. Ou peut-être pas. Ce jour-là, il devait faire froid. Ou peut-être pas. Mes déductions sont nées du fait qu'il était la date fatidique, merveilleuse du 17 décembre. Si certains se questionnent sur cette date, n'allez surtout pas le dire à Martine; elle aurait trop de peine. Il s'avère que le 17 décembre est SA journée, sa date de fête. Ce jour-là, Ex (car c'est son ex tout simplement) et Martine revenaient d'un lieu quelconque. Oui, je suis d'accord avec vous, il y a bien des trous dans cette histoire. Mais lisez et cessez de vous plaindre. Donc Ex et Martine revenaient de le Ciel sait où. Les voilà d'entrer dans leur appartement alors qu'Ex dit soudainement qu'il a oublié quelque chose dans la voiture. Rien d'étonnant puisqu'ils arrivaient de la voiture justement. Mais Ex avait MENTI ! Oui, oui, c'est le genre de choses qui arrivent dans la vie. Mais rassurez-vous, il n'avait pas menti pour disparaître et revenir une semaine plus tard comme s'est déjà fait raconter Martine par un ami (il était parti acheter des cigarettes semble-t-il...). Non, Ex était tout simplement parti pour se cacher les mains derrière le dos à son retour. En fait, comme Martine l'apprendrait plus tard, il était allé faire un tour chez le concierge. Donc Ex est revenu, mains derrière le dos, sourire aux lèvres et air mystérieux. Comme c'était son anniversaire, vous en conviendrez qu'il n'a pas été difficile à Martine d'en déduire certaines informations. Mais ce qui l'a réellement éclairé, c'est lorsqu'elle a entendu un son, comment dire, un son parfait. Celui d'un minuscule petit miaulement. Vous comprendrez sans hésitation la réaction de Martine qui a été celle de faire un placage violent de Ex pour pouvoir accéder au derrière de son dos. Le pauvre homme a dû r'voler ben loin et se blesser, mais l'histoire ne le dit pas... Toujours est-il que derrière Ex, il y avait cette boîte et dans cette boîte, ce chat. Un minuscule petit chat de 2 mois moins 2 jours et au charme fou. Vous comprendrez (ou pas si vous n'aimez pas les chats.... quelle hérésie), le coup de foudre immédiat ressenti par Martine lors de ce moment de grâce. Pendant ce temps, l'Ex, qui devait se relever de ses blessures à informer à Martine qu'elle tenait entre ses mains une gentille petite chatte. Esmeralda ou plus communément Esmé fut-elle donc baptisée.... ERREUR ! Martine sait, depuis cette aventure, qu'il ne faut jamais se fier à un vendeur d'animalerie qui prétend connaître quelque chose. Il s'avère qu'Esmé, lors d'un toilettage en profondeur, a prouvé qu'elle avait quelques millimètres de plus de virilité qu'une chatte standard. Pauvre chat qui commençait sa vie dans une peau de travesti. Martine, voulant se racheter et lui donner un nom viril, et constatant aussi un nombre élevé de cadavres de rouleaux de papiers de toilettes dans sa salle de bain, a décidé de nommer le pauvre petit homme Killer. Il faut dire que depuis, Killer a bien mérité son nom. En effet, il miaule tellement, constamment, sans arrêt, que c'est tuant ! C'était même la raison principale d'aller chez le médecin, le faire examiner (thermomètre et air insulté de Killer à l'appui) et lui faire couper un peu de virilité. Mais rien n'y a fait. À ce jour, il miaule encore. Mais à ce jour, il reste toujours un chat si mignon et si adorable... C'est donc ainsi qu'est née cette belle histoire de cœur entre Martine et Killer, son petit Kilou chéri... J'entends déjà les filles faire des AAAAAAaaaaaahhhhhhh ! J'en fais moi-même un devant cette histoire larmoyante et pleine de guimauve. AAAAAaaaaaaaahhhhhhhhh !

Il est beau hein mon homme ? Car c'est bien le vrai Killer que vous avez l'honneur de voir. :)

mercredi 24 février 2010

Découragement

Je vous rassure. Malgré le titre explicite, je ne suis pas SI découragée que ça. Mais je le suis.

Sujet : l'entraïnement.

Depuis près de 5 mois, je me suis inscrite au gym et j'y vais 3 fois par semaine. Obligatoirement. En fait, je n'ai sauté que 2 semaines : celle de ma fête... avec 3 soupers de fête de prévu, ça se comprend... et celle entre Nowel et jour de l'an... parce que le gym ouvrait juste 3 jours et j'étais malade comme chien d'une grosse grippe qui m'a fait m'enfermer chez moi 6 jours sauf pour le gym. Et QUAND MÊME, ces 2 semaines-là, j'y suis allée 2 fois chacune. C'est pour vous dire donc que je prends ça au sérieux. Je m'étais mis comme objectif 6 mois à 3 fois par semaine. Presque atteint donc. Après j'ajusterai. Facile, très facile de trouver du temps et plein d'envie pour au moins 2 fois/semaine considérant tous les bénéfices, mais 3, je trouve ça rough.

Et là, là, ces temps-ci, j'ai de la misère. Est-ce que ça me tentait d'aller patauger jusqu'au gym tantôt... et de découvrir que j'avais une foutue botte qui prenait l'eau. En temps normal, dans la neige, elle va très bien cette botte. Mais là, dans la maudite slush, quelle merde. Donc j'avais un pied au sec et l'autre dans la piscine froide ! Ensuite, d'arriver au gym et de faire comme mes derniers entraînements en général. M'essouffler ben trop vite comparé à d'habitude, faire un temps de jogging moins bon que ce dont je suis capable. J'ai quand même fait un entraînement raisonnable, mais je suis dure avec moi-même. Exigente. Je sais ce dont je suis capable donc je ne comprends pas pourquoi mon corps rush autant ces temps-ci. Depuis 2-3 semaines environ. Et on dirait que ça me fait perdre un peu le feu sacré. De l'accro au jogging des derniers mois, je suis devenue une accro encore, mais qui a de la misère en maudit. Bon, remarquer, si on compare à ce que je faisais au début ou bien à la population en général, ça va. Mais ça me frustre de devoir me battre contre mnon corps conmme ça et de ne réussir à le ''mater'' qu'à moitié. Je suppose qu'il doit essayer de me dire que je suis fatiguée...

Précision. J'aime le gym. Depuis que j'ai commencé, j'y vois 100% bienfaits et le jogging me fait triper. J'en parle, j'échange avec un autre coureur et j'ai une superbe relation avec mon tapis roulant.

Mais là, j'ai besoin d'encouragement. Bien besoin.

mardi 23 février 2010

Free for all

Enfin, je me repose un peu l'esprit. Parce qu'honnêtement, aujourd'hui, j'avais l'impression d'avoir la tête à spin. Et qu'est-ce que ça donne une tête à spin. Ben un texte de divers et varia. Que voici.

Ça a commencé par un rêve fort étrange. Qui m'a mal réveillée à 5h00 du mat. Le vautour. Un rêve si vrai que même si je savais être dans un rêve, je me souviens m'être demandée si j'étais bel et bien dans un rêve. Un rêve très bref. Il avait des larmes plein les yeux. J'ai un mauvais feeling...

Ce midi, discussion sur les exigences que nous avons nous, les femmes, envers notre corps. Toujours ce besoin de perdre 5 lbs (au moins.....), d'avoir les seins qui pointent vers le haut, les lèvres pulpeuses, la jambe musclée et mince, la fesse confortable, mais pas mollasse, le regard pervers et l'once de gras inexistante. J'avais cette collègue, fort jolie et pas grosse du tout, qui disait vouloir perdre du poids parce qu'elle avait 15 lbs de plus que son soit disant poids idéal. Moi de lui dire qu'elle n'a tellement rien à perdre. Une autre de dire que si elle ne se sent pas bien comme ça, faut qu'elle le perde le poids alors. Mais criss, pourquoi ne pas plutôt chercher à s'accepter ??? Parce que le problème à mon avis est beaucoup dans l'acceptation que dans ces quelques lbs. On ne parle pas de 30-50 ou 100 lbs en trop quand même ! Et comme je disais avec une autre collègue, on veut toujours perdre du poids. Après les 5 lbs, on en voudra 5 autres et sinon, ce sera autre chose. Notre corps est victime de nous. Et des hommes. Hier, j'ai entendu un gars dire à un autre : ''Oui, mais tu as déjà baisé avec elle, non ?'' Et l'autre de répondre : ''Oui, mais tsé avant elle était pas aussi grosse ! '' QUOI ? QUOI ?? C'est une honte d'avoir baisé avec elle alors que maintenant elle a pris un peu de poids. Il faut se justifier à ses amis ? Donc oui, la pression, on se la met. Mais putain, on s'entend que souvent c'est à cause de cette pression du mâle. Et si je puis me permettre d'ajouter (eeuhhh..oui c'est mon blogue après tout !), les hommes sont pas mal plus difficiles que les femmes sur la beauté. Combien de fois on voit la belle fille avec la gars plutôt laid ? Cherchez-moi l'inverse maintenant !

Sinon, j'ai la tête à spin parce qu'au bureau, ça fait 2 jours que je suis dans le jus. J'ai l'impression de me pitcher partout, Et c'est pire en après-midi alors que l'heure du départ approche. Du coup, quand je finis, j'ai toujours un petit soupir, une petite respiration que je n'avais pas eu le temps de faire avant.

La fièvre de la danse maintenant. C'est ce que j'écoute d'un oeil en vous écrivant mes chers. Je viens de voir un numéro qui m'a mis les larmes aux yeux. Parfois, la danse, je trouve que ça prend aux tripes. Faudrait bien que je me décide à aller voir des shows de danse. Je suis certaine que j'adorerais. Ça et suivre des cours de danse. Ohhh et peut-être bonifier ma collection de films de danse. Des suggestions pour spectacles, cours ou films ?

À part ça ? Je ronge mon frein... Je sais pas ce que j'ai. J'ai un élan, des envies, un mouvement intérieur. Que je n'arrive pas à identifier.

lundi 22 février 2010

Le Québécois et la Québécoise moderne

Clichés et généralisation, veuillez entrer svp. (Vous ne pourrez pas dire que je ne vous ai pas prévenus).

Le Québécois et la Québécoise moderne donc.... C'est peut-être devenu si facile de nous généraliser parce que nos rôles sont devenus si clairement ''définis'' !

L'homme Québécois moderne est un loser ! Rien de moins. Et ce n'est pas que moi qui le dit. Le héros à la Dompierre, le gars qui travaille dans un club vidéo en attendant de devenir scénariste (La vie, la vie, ça vous dit encore quelque chose ??), les pubs de bouffe pour chats qui recycle l'homme en chat et que dire de nos Invincibles ?!? C'est partout messieurs. Même sur le web et dans ces charmants petits blogues qui poussent comme des champignons. Vous voulez être dans le vent : soyez loser. Il se trouvera toujours plein de monde pour justifier que vous êtes à la recherche de votre ti-enfant intérieur, de votre artiste frustré par la société, que vous êtes déboussolé par la femme moderne et émancipée.

Parlons-en d'ailleurs de cette femme moderne et émancipée ! Toujours au garde-à-vous, sur le pied de guerre. Une super woman qui ne s'arrête jamais, multi-tasks, qui en plus se doit d'entretenir un corps parfait et a des orgasmes à répétition pour prouver qu'elle est une reine du batifolage. Par-dessus tout ça, elle doit prendre soin de l'homme moderne. C'est plus fort qu'elle. Le petit loser, elle est convaincue de pouvoir le faire sortir de son marasme et d'exploiter le meilleur de lui. Mais au fond, c'est encore du gère et mène. La femme Québécoise moderne est une Germaine ! Pas le choix, sinon le mythe de la super woman en sortirait détruit. Game over, meilleure chance la prochaine fois !

Vous voulez me demander ce qu'on fait maintenant ? Mais j'en sais fitchre rien moi ! En attendant, j'ai sûrement un loser dans mon entourage qui demander à être sauvé... Faut qu'j'y aille ! :)

vendredi 19 février 2010

Les fameux "signes"

Si vous avez vu ou lu He's just not that into you, cela vous semblera familier. C'est normal. L'inspiration vient de partout.

Les signes donc, les fameux "signes" ! Nous, femmes, sommes des maîtres dans cet art. Celui de voir des signes qui veulent supposément dire quelque chose, ou autre chose en fait, ou bien es-tu certaine que ça ne voudrait pas dire ça ma chère... Car les signes s'utilisent pour parler de l'homme. Pas l'être humain au sens large. Non, plutôt l'humain masculin. L'homme dans toute sa splendeur. L'homme qui ne comprend décidément rien aux signes qu'il envoie. Euhhh... quoi ? J'en ai manqué un bout là, madame.

Les signes sont tout simplement toutes ces choses ridicules que nous, les femmes, inventons pour expliquer qu'un homme est follement amoureux de nous... même s'il ne nous le dit pas et/ou n'est pas avec nous en couple et/ou ne couche pas avec nous et/ou a déjà une copine et/ou nous a déjà dit clairement qu’il n’était pas intéressé.

Sur le prochain bout, messieurs, vous pouvez fermer les yeux.

MESDAMES, VOUS ÊTES DANS LE TORT !!!!!! GRAVEMENT DANS LE TORT !!!!!! (Bon, je précise que je m'inclus dans le mesdames hein... :-s un petit défaut vraiment occasionnel je le jure…).

Ok, messieurs, vous pouvez les ouvrir.

Ça suffit mesdames, relevons collectivement nos manches et arrêtons d’inventer des tonnes de scénarios. Non, il n’a pas perdu votre numéro, il n’est pas à l’urgence, il n’a pas été enlevé par des extras-terrestres, il ne veut rien savoir de vous. Non, il ne va pas quitter sa copine, il n’a pas réellement appris que sa mère était à l’hôpital juste après vous avoir enfin baisé, il n’est pas blessé par sa dernière relation, il a juste eu ce qu’il voulait. Non, il n’est pas gêné de vous inviter à sortir, il n’est pas menteur quand il vous parle de cette autre fille qu’il aime bien, il n’est pas parti en voyage d’affaires, il ne vous veut pas. Non, il n’est pas méchant parce qu’il a souffert dans sa vie, il n’est pas asexué, il n’est pas un coureur parce qu’il n’a pas encore rencontrée la bonne, il se fout de vous. Ai-je besoin de donner encore 600 exemples ? Car il y en a facilement autant. C’est désolant, mais c’est comme ça.

Arrêtons de voir des signes où il n’y en a pas.

En attendant, une question demeure, ce livre prône de laisser l’homme chasser tandis que c’est assez répandu dans les mentalités que les hommes Québécois ne draguent pas… Mais on fait quoi alors ?

mercredi 17 février 2010

Les gens que je déteste

Je déteste :

- Les hypocrithes qui te lichent dans ta face et te plantent un couteau dans le dos
- Le monde qui ont une grande gueule et pense que parler de toi est un sujet pertinent
- Ceux qui te mentent au visage et qui pensent que t'es trop conne pour t'en apercevoir
- Les osties de peureux qui ont peur de dire ce qu'ils pensent. Ce qu'ils pensent VRAIMENT
- Les épais et imbéciles heureux qui se rendent pas compte de rien. JAMAIS
- Le monde qui te violente par les mots parce que c'est le fun et qu'ils ont pas de vie
- Ceux qui ont pas de vie justement et que ça te tente pas d'en entendre parler
- Les fatiguants qui comprennent rien à rien. Même si tu leur répètes la même criss d'affaire depuis longtemps
- Les personnes qui ont de la misère à saisir que t'en à rien à foutre qu'ils te parlent de leur vie à l'infini
- Ceux qui pensent que s'intéresser à son prochain c'est dire bonjour. Rien d'autre.
- Les colons qui connaissent trois phrases, deux expressions et qui sont même pas capable de les dire clairement
- Les tabarnacs qui pensent que leur diahrée verbale est hot et que tu as vraiment envie de l'entendre
- Ceux qui pensent que chialer est un mode de vie et qu'il faut se pratiquer le plus souvent possible
- Ceux qui t'aiment. Des fois. Pis t'aime pu des fois. Tu te décides-tu calvaire ?
- Les nombrils du monde, les kings, les frais chié, les je suis le meilleur
- Les maudits pas de classe. Criss, t'es pas dans ton salon, ni dans la jungle. Fais un effort !
- Les salauds finis qui aiment s'amuser avec le monde juste parce que c'est drôle man !

Bon, je pourrais continuer encore quelques heures, mais je suppose que vous avez compris le principe. En attendant, un peu à cause de ma volonté et un peu à cause de tous ces criss-là, je suis allée au gym et j'ai perdu les calories de 2 entraînements en one shot ce soir ! Merci bien !