dimanche 29 avril 2012

Espoirs déçus

Si tu savais comme ça fait mal. Une brûlure à vif au fond de l'estomac. Une blessure sur laquelle on verse un filet d'alcool. Une corde qu'on attache un peu trop fort autour des poignets. L'air qui ne passe plus au fond d'une gorge bouchée par un caillot d'amertumes.

J'ai dit que je ne croyais pas. Je mentais. Je mens toujours. J'ai l'espoir comme une arme qui me tient à portée de tir. J'ai la maladie de croire. Je tombe comme une pauvre poupée sans force. Chaque fois, je tombe. Mais c'est un combat que je ne veux jamais déclarer vain.

J'ai la gorge, j'ai le ventre. Ça serre. J'ai les os qui se liquéfient. J'ai le sang qui se glace. Je hais cette souffrance. Ça me prend au corps, ça me martèle et me tue. Je ne sais plus ce que je dois faire. Sans ressource, abandonnée. Je suis une enfant qui remet sa main sur le rond de poêle trop chaud. Je n'apprend pas. Je fais et refais le geste. J'ai l'odeur de peau brunie qui me monte au nez.

Ça fait mal. Si tu savais. Je n'ai pas appris à échapper à la douleur. J'ai grandi avec. Il serait peut-être temps de la vaincre.

samedi 28 avril 2012

Histoire de karma

Cette semaine, j'ai volontairement/spontanément rendu service et été gentille avec quelqu'un. En riant, j'ai dit que je j'attendais les remerciements. Non seulement, je n'en ai pas eus. Mais j'ai eu droit à des reproches d'enfant qui boude et une attitude très bête.

Sur le coup, ça m'a fâchée énormément. J'ai été très en colère. Je le suis d'ailleurs encore. Mais ça ne m'empêche pas de voir un autre côté de la médaille.

Bien entendu, je ne rend pas service pour nécessairement avoir des remerciements. C'était juste comme ça, spontané. Ok, on m'a fait chier en plus de ne pas me remercier. Soit. Ce genre de choses arrivent. Alors qu'est-ce que je peux faire de cette situation ?

Je pourrais cultiver ma colère. Je le fais un peu, je l'avoue. Je suis sur terre pour apprendre. Mais en même temps, je me dis aussi que mon attitude est la meilleure. De vouloir spontanément être gentille. Aussi, je me dis qu'il y a bien un karma quelque part. Et bien que je n'agisse pas pour mon karma, je trouve que je viens de lui ajouter quelques points dans cette situation. Aouuuuummmm ! Restons zen. La vie me le rendra bien.

mercredi 25 avril 2012

Moi, l'argent, la vie

Parfois, je m'amuse à compter combien il me faudrait pour changer de vie. Combien monétairement s'entend. Bon, je dis que je m'amuse, mais plutôt, je me désespère. Pourtant, je n'aurais pas besoin d'une fortune. Je ne cherche pas le million. Tout au plus, je me dis que 25 000$ qui tomberait du ciel me permettraient bien des choses.

Quand je dis changer ma vie, je pense beaucoup à des études. J'ai fait un certificat en création littéraire il y a quelques années et j'ai adoré. Je ne veux pas étudier de nouveau dans ce domaine, mais j'ai d'autres domaines qui m'intéresseraient. Mais je ne sais trop comment je pourrais m'en tirer financièrement. Je n'ai pas envie d'aller sur les prêts et bourses et en sortir avec des dizaines de milliers de dettes. Je pourrais faire le tout à temps partiel. Mais ce qui m'intéresse le plus me demanderait probablement 10 ans. 10 ans, c'est long. Mille choses ont le temps de changer d'ici là. Commencer en se disant qu'on ne sait pas si on va finir ?

Économiser les 25 000$ me dites-vous. Oh ! possible. Mais peu réaliste. Du moins à court terme. J'en aurais pour un bon moment. Vivre seule à Montréal avec  un salaire bien, mais sans plus, ça laisse peu de place pour l'économie. Ça et une manie de la dépense compulsive. Et une envie de voyager. Et de profiter de la vie.

Je ne dis pas qu'il n'y a pas de solutions. Mais elles me semblent toutes compliquées, ardues ou trop étendues dans le temps. Je ne dis pas non plus que ce qu'on veut doit se réaliser en claquant des doigts. Rien de ce qui vaut la peine n'est facile semble-t-il. Mais honnêtement, aucune option actuelle ne me semble acceptable en rapport avec le niveau de stress et d'angoisse que ça pourrait amener.

Parfois, j'en viens à détester l'argent. Il nuit à tant de choses. J'en suis à lire ce livre : The Man Who Quit Money. Je ne pourrais dire si je le recommande puisque je ne suis pas avancée dans ma lecture. Mais ça fait réfléchir. C'est l'histoire d'un homme qui vit sans argent depuis une douzaine d'années. Sans en gagner, sans en recevoir, sans en dépenser, sans en avoir. Oh ! je ne le ferais jamais. C'est clair dans ma tête. Mais je réfléchis. Sur la place de l'argent dans nos vies. Sur l'esclavagisme que ça nous impose parfois. Sur les effets pernicieux.

Qui seriez-vous si vous auriez plus d'argent ? Et ce n'est pas une question de richesse et de millions. Disons de ce qu'il faut pour vivre une belle vie et s'accomplir dans la mesure où on a envie de s'accomplir. Disons juste pour ne pas bloquer des rêves somme toute ordinaires. Serait-on tous les mêmes personnes avec les mêmes vies ?

mardi 24 avril 2012

Questions post déjeuner

On fait quoi pour avoir moins la trouille ?

Pour agir plus ?

dimanche 22 avril 2012

Dimanche aux quelques pensées grises

Je m'insupporte. Je me supporte difficilement. Incapable de me tolérer. Mes espoirs ridicules. Mes fausses idées. Mes exaspérations. Mes soupirs. Je suis petite. L'âme dans un carcan. Les idioties trop nombreuses. À rêver trop, on se désespère des mornes journées qui n'en finissent plus. Des identiques, des toujours pareilles. Des répétitions inutiles.

Je voudrais brûler. Je calcine. Je meurs sans oxygène. J'ai des ailes qui m'enterrent. Je ne sais plus comment voler. Je ne l'ai peut-être jamais su. Je ne supporte plus rien. Ne veux pas tout ça. Voudrais m'arracher les pensées comme on arrache les mauvaises herbes. Mais ça pousse en moi. Ça se répand. Insidieux et mortel. Mes pensées finiront par me tuer. Trop de créations douloureuses. Trop d'inventions qui m'écorchent l'âme.

On veut. Mais on ne devrait plus. Vouloir, c'est affronter le vide qui survient lorsqu'on ne réussit pas à avoir. Vouloir, c'est le rejet comme une claque sur la gueule. Vouloir, c'est les idées sombres qui font goudron au fond de son corps. Et c'est si facile de façonner des douleurs. Ça fout un choc au fond de soi. Et on s'imagine qu'on vit plus. Je m'insupporte. Je ne me supporte plus.

samedi 21 avril 2012

Envie de rêver

L'autre soir, avant de m'endormir, je pensais un peu. Bon, beaucoup. C'est une mauvaise habitude que j'ai ! Que celui/celle qui ne le fait pas me jette la première pierre. En tout cas, ce n'est pas le sujet de ce billet.

Je pensais. À ce gars. Intéressant. Il m'attire. Et là, je divaguais. Ce qui pourrait se produire. Des choses que je me voyais vivre avec lui. Bla bla bla ainsi de suite.

Pis là, y'a ma tête qui a embarqué : "Mais qu'est-ce que tu fais là ? Rêve pas à lui. T'as aucune chance. Et même si tu en avais, en veux-tu réellement ? Vous êtes différents. Ce serait assez étonnant que ça puisse marcher. Tu vas te faire chier à trop penser à ça pis qu'il se passe jamais rien. " LA litanie. THE litanie même devrais-je dire.

À la fin de la litanie ?

"Merde, j'ai juste envie de rêver, moi !"

C"était presque violent comme exclamation. L'envie de rêver. De me raconter quelques petites histoires. De me chanter romance. De m'inventer une vie imaginaire. Oh ! bien sûr, ce n'est pas "sage". Et alors ? Ne pas rêver, ça aussi, ce n'est pas sage !!! Et moi, j'ai envie de rêver. Parce que rêver, ça met des maudites belles couleurs dans la tête. Et on a toujours besoin de belles couleurs dans la tête !

jeudi 19 avril 2012

Histoire d'une nuit d'insomnie

Le sommeil ne me trouve pas. Me fuit.

Je pense à toi.

J'ai essayé la radio. Mais une ballade dans le noir quand je suis dans cet état-là, ça me fout l'angoisse.

J'ai joué à l'horloge dans mon lit. Les pieds à 9h, la tête à 3. Rien n'y fait. Mon corps réclame un calme qu'il ne connaît pas.

Je pense à toi. Je ne sais pas. J'hésite. Je tangue un peu.

Je ne sais plus comment me placer. Trop de bras, trop de jambes, un trop grand vide dans le ventre. Une agitation. Comme une fièvre. L'insomnie. Des mots qui surgissent et s'envolent. Je n'arrive pas à mettre le doigt sur ce qui veut s'exprimer.

Je pense à toi.

mardi 17 avril 2012

Perdus dans le bois !

Dernièrement, j'ai vu un gars agir et ça m'a vraiment fait rire. Agir comment vous demandez-vous sûrement ? C'est qu'il s'amusait à échanger quelques messages textes avec une fille qu'il connaissait par une connaissance. Une situation potentielle de drague donc.

Et là, de se demander quoi ? S'il doit répondre longuement. Et prendre le risque d'avoir l'air intéressé. Ou répondre plus brièvement dans le but de voir comment la demoiselle réagirait. Et se demander les conséquences s'il a l'air trop intéressé. Alors qu'au fond, il ne l'est pas puisqu'il ne la connait pas encore. Vous me suivez ?

Je pensais que c'était une histoire de filles, ça. Les suppositions, les doutes, les cent façons d'analyser son comportement et celui de l'autre, les mots de l'autre et les siens. Car on s'entend là-dessus, les femmes sont les reines incontestées de l'analyse. On peut analyser une seule phrase pendant une heure. Parler d'un regard ou d'un geste presque aussi longtemps. Mais les gars aussi ?

Et si on faisait tout simplement et spontanément ce qu'on a envie de faire ? Ça donnerait quoi ?

Après ça, on se demandera pourquoi on n'est pas sorti du bois !!! (et je m'inclus dans ce bois, hein !!!).

dimanche 15 avril 2012

Belles paroles vides

Je ne sais pas pour vous mesdames, mais moi, ça m'est arrivé à quelques reprises de me faire dire des belles paroles. Non, pas du genre auquel vous pensez. Je parle des gentils garçons qui veulent nous encourager/réconforter/aider à avoir confiance en nous. À avoir confiance en notre pouvoir de séduction plus précisément.

Ils ne tarissent pas d'éloges. Ou presque. Du moins, se montrent fort encourageant. Nous disent qu'on n'a qu'à piger. Que plein d'hommes nous regardent. Qu'on a à offrir. Qu'on est intelligente et intéressante. Bla bla bla. Le gars peut changer, mais les propos tournent toujours autour du même thème. On gagne follement à être connue.

Sauf que. Le gars en question, lui, semble étanche à tout ça. Comment peut-il alors parler pour les autres ? Et puis, de toute façon, moi, il me semble, un gars, ça parle par les gestes. Pas par les paroles. Alors, moi, ces gars qui me disent tout ça... J'ai envie de leur crier bull shit !!!!! En fait, pour tout dire, à moins que le gars ne m'enlève ma culotte avec ses dents (si je suis d'accord et que le gars me plaît bien entendu) après avoir dit ça, ou à moins qu'il ne m'offre quelques fleurs et un souper au restaurant, j'embarque pas ! Et vous ?

samedi 14 avril 2012

Nouvelle robe

J'essaie très fort de prendre soin de moi. Hier, je suis allée marcher quelques kilomètres près de l'eau et en forêt. J'ai profité du beau temps. J'ai aussi fait quelques achats frivoles. Des vêtements. Depuis que j'ai perdu du poids, j'ai acheté bien peu. Quelques paires de pantalons surtout. Parce que j'espère perdre encore quelques livres. Et alors vaut mieux attendre. Mais là, j'avais besoin d'un peu de frivolité. 3 chandails. Et une petite robe. Il faut toujours une petite robe. Medium en plus (votre signe pour m'applaudir) !!!  Joie.

Mais la vérité, c'est que c'est lourd en moi. Je porte les choses qui se sont passées dernièrement. J'en porte d'autres.

Mais j'essaie très fort. Je vous jure.

Comment on fait pour arrêter de penser ? Je suis née en pensant probablement. J'ai beaucoup de difficulté à désapprendre. J'ai le stress qui m'afflige. L'inquiétude qui m'éparpille. La lassitude. Et cette fatigue, cette fatigue.

Mais j'essaie. Elle est jolie ma nouvelle robe.

mercredi 11 avril 2012

Mes culpabilités

J'ai toutes les culpabilités du monde qui me rongent et me torturent. Un sentiment irrépressible que je suis fautive, pas assez bonne. Je suis tyran, je suis bourreau envers moi-même. Jamais assez. Ni assez bonne, ni assez bien , ni assez gentille. Un placard rempli de squelettes sombres et emmêlés. Et chaque fois que la lumière y entre, ça dévoile l'indicible.

Parfois, je l'avoue, je ne sais plus faire la part des choses. Je me trouve juste moins bien que tous les autres. Et je me dis que tôt ou tard, ça se saura. Mon mauvais sera dévoilé à la face du monde.

J'ai toutes les culpabilités. Les pires. Au moins en sentiments si ce n'est en actes. Je m'en veux trop. Une gangrène qui me dévore. Pourquoi suis-je si faible ? Imparfaite surtout ?

Je suis empoisonnée. Même le bon, je me le reproche. Et pour le mal, je me condamne. À perpétuité. Je mérite la peine capitale. Pas assez bien. Le serai-je assez un jour ?

***

C'est un "vieux" texte. Mais l'est-il vraiment ? Car je réfléchis beaucoup à ça ces jours-ci. Je me pensais indulgente envers moi-même. Mais je ne sais plus. Je suis indulgente en un certain sens. Ou quand je le veux bien. Mais je refoule bien des choses. J'en condamne bien d'autres. Il est parfois si peu évident d'être humain. C'est complexe. Et si la complexité amène la beauté, le chemin n'est pas toujours linéaire pour y arriver. Nous sommes si souvent notre plus grand obstacle.

mercredi 4 avril 2012

Un gros poids sur le coeur

Je vous écris ce soir avec un poids immense sur le coeur. Il est rare que je parle de choses aussi intimes. Du moins que je les nomme clairement. Mais j'ai besoin d'en parler.

C'est mon frère. Je ne sais plus quoi faire. Il ne me respecte jamais. Il est sans cesse blessant, méchant, agressif. J'avais proposé par l'entremise de ma mère de lui donner un coup de main cette fin de semaine. Il m'a écrit un message aujourd'hui. Remplis de conditions, de ce que je devais faire, ne pas faire, comment agir, quoi dire. Avec plein de lettres en majuscules. Qui comme tout le monde le sait sont là pour signifier l'agressivité dans un message écrit. C'est une goutte énorme pour moi. Pour tout dire, je suis partie à pleurer sur mon lieu de travail et ça m'a pris plusieurs minutes pour me calmer. Je ne sais pas pourquoi ça m'a fait réagir aussi fort aujourd'hui. Je devrais être habituée. Il est comme ça depuis si longtemps. Tout ce que je dis, ce que je fais est retenu contre moi, est vu comme quelque chose de méchant qui aurait été fait dans le but de le blesser, de l'attaquer ou de me moquer de lui.

Dernièrement, je suis fatiguée. Très fatiguée. Je pense à beaucoup de choses. Je me demande ce que ce sera quand mes parents ne seront plus là. Il est ma seule famille après eux. Deux parents, deux enfants. J'ai peur en me disant que peut-être on se perdra complètement de vu. J'ai presque pleuré aussi en regardant une photo de nous. Quand on était plus jeune tous les deux. Je ne comprends pas ce qui a pu se passer. Je m'inquiète pour lui aussi. Il a vécu certaines choses dernièrement. Je sais qu'il avait de la peine. J'ai parfois peur qu'un jour il ait trop de peine. Et qu'il réagisse mal. Très mal. J'aimerais l'aider, pouvoir y faire quelque chose.

Mais je n'en peux plus. Je ne comprends rien. Et je sais que tout cela fait de la peine à ma mère. Elle est entre nous deux. Depuis fort longtemps. Et je déteste voir ma mère qui a de la peine. Ça me va droit dans le coeur. Elle dit qu'elle ne sait pas quoi faire, qu'elle ne peut rien changer. Elle est mécontente de sa façon d'agir. Avec moi. Mais avec elle aussi. Car il n'est pas toujours rose avec elle non plus. Je ne comprends pas ce qui a pu le rendre ainsi. Si agressif. Si sur la défensive. Je sais que ce n'est pas nécessairement nous. Mais je ne peux m'empêcher de me sentir mal, de me questionner sur ce qui a pu amener tout ça.

Je suis si désemparée. Je ne sais plus quoi faire. Je n'ai plus envie de lui parler, de le voir, de lui écrire, d'être dans la même pièce que lui. Et en même temps, c'est mon frère. Je veux l'aimer, l'aider, entretenir une relation fraternelle correcte avec lui. On ne sera jamais amis. Mais parfois, quand il le veut, on se parler et on peut échanger, avoir un contact agréable.

Je vous écris ça et je pleure. Ma mère me dit de ne pas m'en faire avec ça. Mais je n'en suis pas capable. C'est moi de m'en faire. Ça me brûle à vif tout ça. Et je ne vois pas de solution. On dirait une situation sans issue.

Nouvelle bébelle

J'ai cédé. Oui. À la technologie. Il faut dire que j'avais l'occasion d'en avoir une gratuite. Une quoi, vous dites ? Une liseuse, livre électronique si vous préférez. Et j'adooooore ça.

J'étais sceptique. J'aime les livres. J'aime leurs odeurs. Leurs pages. Les jolies couvertures. Mais j'aime ma nouvelle bébelle. Pratique. Format agréable. Ça éclaire dans le noir. Livres moins chers. Abolition  des virées tardives en librairie parce qu'il me faut un livre là, là, maintenant. Moins d'accumulation dans mon appartement. Plein d'avantages. Comme quoi il ne faut jamais dire jamais.

Je vais continuer d'acheter des livres papiers. Mes auteurs favoris. Des livres auquels je tiens davantage. Mais pour le reste, j'ai ma bébelle. Et considérant le nombre de livres que j'achète, vive l'économie. Juste hier, moitié prix un livre. Oh ! et les livres gratuits. Il y en a plein. J'ai l'impression d'être lâchée lousse dans un magasin où je peux me servir sans payer. Ce qui à peu près le cas en fait ! Vraiment, je suis bien contente d'avoir eu cette occasion !

mardi 3 avril 2012

Questions sans réponse

A-t-on le droit de s'inquiéter pour les autres plus qu'ils ne s'inquiétent pour eux-mêmes ?
Est-ce que ça pourrait attirer le mauvais oeil ?
N'est-ce pas mieux de cultiver le positif ?
Même si la majorité tout ça ne se passe que dans notre tête ?

lundi 2 avril 2012

Une belle journée !!

Des fois, je me réveille de bonne humeur. Comme ce matin. On dirait presque que les petits oiseaux chantent. Même s'il n'y en a pas. Il reste seulement 3 minutes avant mon cadran (malgré une nuit merdique). Mon chat veut se faire gratter le ti bout du nez. Bon, il se sauve 30 secondes après... Mais je reste de bonne humeur.

Je me lève. Fais 2-3 petites choses. Échappe une assiette par terre tandis que la toast tombe sur le comptoir. L'assiette se brise pas. Je reste de bonne humeur. J'échappe une bouteille d'eau. Habituellement, y'a toujours le bouchon. Pas là. Moitié de l'eau par terre. Mais non, je suis de bonne humeur. Mange des toasts. Mes bananes veulent pas rester sur elles. Tombent sans cesse. Mais dans l'assiette au moins.

Je veux rester de bonne humeur aujourd'hui, bon. Le soleil brille, y'a l'air de faire beau dehors. On peut tu juste arrêter de me faire faire des gaffes et arriver des p'tites patentes fatiguantes ?! Non, mais !

Bonne journée à vous !